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Le CAC 40 finit une semaine morose sur une note positive
Les investisseurs se montrent prudents avant le PIB américain. Crédit Photo : MARIO TAMA/AFP
L’indice
a avancé de 0,69 % mais cède près de 2 % sur la semaine. Les
investisseurs ont salué le rebond surprise de la croissance américaine.
Les banques, dans le collimateur de Standard and Poor’s, accusent le
coup.
Le
CAC 40 qui avait ouvert en baisse vendredi a fait volte face en milieu
de séance, soutenu par une bonne surprise sur la croissance américaine
qui s’est révélée bien plus forte que prévu au troisième trimestre. Elle a grimpé de 2 % en rythme annuel,
portée par de solides dépenses des ménages. Au finish l’indice a avancé
de 0,69 % à 3 435,09 points. Mais sur l’ensemble de la semaine il perd
1,98 %. Auparavant, déçu par de nombreux résultats décevants en
provenance des entreprises américaines et freiné par des signaux
conjoncturels mitigés, le CAC 40 avait passé toute la semaine dans le
rouge, à l’exception d’un soubresaut mercredi.
Après une semaine également très morose, les autres grandes places européennes ont également terminé en petite hausse vendredi. Londres a grignoté 0,03 % et Francfort, 0,44 %. Wall Street, faisait en revanche toujours grise mine. En séance, le Dow Jones reculait de 0,21 % et le Nasdaq de 0,33 %.
A Paris, les banques toujours en première ligne restaient dans le rouge vendredi. Société Générale a perdu 0,96 %, BNP Paribas 1,22 % et Crédit Agricole 2,18 %. Sur l’ensemble de la semaine, ces titres reculent respectivement de 5,59 % ; 4,08 % et 4,71 %. Les banques françaises sont dans le collimateur de Standard & Poor’s. L’agence de notation a dégradé la note de trois banques françaises dont BNP Paribas. Neuf autres banques ont vu leur note inchangée mais leur perspective passer à négative, dont Crédit agricole et Société Générale. Standard & Poor’s estime que le «risque économique» sous lequel opèrent les banques françaises s’est accru, compte tenu notamment du poids de la dette publique dans notre pays.
Seuls les groupes qui ont dévoilé de solides performances au cours du troisième trimestre parviennent à tirer leur épingle du jeu à l’image de PPR (+2,23 %) ou Michelin (+1,99 %).
Après une semaine également très morose, les autres grandes places européennes ont également terminé en petite hausse vendredi. Londres a grignoté 0,03 % et Francfort, 0,44 %. Wall Street, faisait en revanche toujours grise mine. En séance, le Dow Jones reculait de 0,21 % et le Nasdaq de 0,33 %.
A Paris, les banques toujours en première ligne restaient dans le rouge vendredi. Société Générale a perdu 0,96 %, BNP Paribas 1,22 % et Crédit Agricole 2,18 %. Sur l’ensemble de la semaine, ces titres reculent respectivement de 5,59 % ; 4,08 % et 4,71 %. Les banques françaises sont dans le collimateur de Standard & Poor’s. L’agence de notation a dégradé la note de trois banques françaises dont BNP Paribas. Neuf autres banques ont vu leur note inchangée mais leur perspective passer à négative, dont Crédit agricole et Société Générale. Standard & Poor’s estime que le «risque économique» sous lequel opèrent les banques françaises s’est accru, compte tenu notamment du poids de la dette publique dans notre pays.
Le secteur automobile à la peine
Dans un climat toujours très fébrile, les mauvaises nouvelles ont été lourdement sanctionnées en Bourse. France Télécom ainsi accusé la plus lourde chute du CAC 40 sur la semaine avec une repli de 8,45 % en cinq jours. L’opérateur télécom historique doit faire face à la fois à l’inexorable déclin de la téléphonie fixe et à une concurrence sans merci dans le mobile. Mauvaise semaine également pour l’industrie automobile. PSA Peugeot Citroën, qui a été contraint d’accepter l’aide de l’État pour éviter à sa filiale bancaire de sombrer, a abaissé cette semaine les perspectives de croissance après avoir vu ses ventes reculer de 3,9 % au troisième trimestre. Renault a vu son chiffre d’affaires trimestriel plonger de 13 % et s’attend à présent à un recul de ses ventes en 2012 pouvant atteindre 5 %. Les deux titres abandonnent respectivement 13,4 % et 6,74 % en cinq jours. L’action Peugeot flirte désormais avec ses plus bas niveau depuis 1986. Au-delà du seul secteur de l’automobile, les valeurs industrielles souffrent considérablement. Technip cède ainsi 5,03 % sur les cinq derniers jours de Bourse. Suivent, notamment, Vallourec (- 4,88 %), Alstom (- 3,67 %) ou encore Schneider Electric (- 3,17 %).Seuls les groupes qui ont dévoilé de solides performances au cours du troisième trimestre parviennent à tirer leur épingle du jeu à l’image de PPR (+2,23 %) ou Michelin (+1,99 %).
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