vendredi 30 août 2013

Mercados

Europe: le recul des Bourses s'amplifie en fin de semaine.

Les Bourses européennes creusent leurs pertes, les chiffres publiés en milieu d'après-midi aux Etats-Unis ayant conforté le scénario d'un début rapide du durcissement monétaire de la Réserve fédérale.

Madrid abandonne 1,5%, Bruxelles 1,3% et Amsterdam 1,1%, devant Francfort, Paris, Milan et Lisbonne (+1%), Londres (+0,8%) et Zurich (+0,4%). A New York, le Dow Jones perd 0,2% et le Nasdaq 0,4%.

'Les marchés digèrent les propos de Jeffrey Lacker, membre non votant de la Fed, pour qui les conditions sont désormais réunies pour que la banque centrale entame la réduction de ses rachats obligataires', note une stratégiste marchés d'IG.

Cette perspective est plutôt confortée par les données de l'après-midi. L'indice PMI de Chicago s'est comme prévu amélioré de 0,7 point à 53, tandis que l'indice de confiance du consommateur 'UMich' a été révisé en hausse à 82,1, contre un consensus vers 80.

Parus un peu plus tôt dans l'après-midi, les dépenses de consommation et les revenus des ménages américains n'ont par contre augmenté que de 0,1% au mois de juillet, soit des progressions moindres que prévu par les économistes.

Les marchés dévissent malgré un apaisement relatif des tensions sur la Syrie. 'Les dirigeants temporisent leurs propos et soutiennent davantage une résolution politique plutôt que militaire avant de connaitre le rapport officiel de l'ONU', note Saxo Banque.

Les Bourses n'ont pas non plus profité de la progression des indices du sentiment économique et du climat des affaires dans la zone euro, dévoilés par la Commission européenne, ni de la stabilisation du taux de chômage dans la région à 12,1%.

En baisse de 5,5% à moins de 2,2 euros, KPN fait figure de lanterne rouge à Amsterdam, après l'exercice par la fondation KPN d'une option d'achat sur des actions préférentielles de classe B, pour contrer l'offre d'America Movil sur l'opérateur télécoms.

L'Oréal prend la tête à Paris avec un gain de 4,2% à 127,5 euros, grâce à l'annonce d'un résultat opérationnel semestriel en hausse de 8%. Dans la presse, le leader mondial des cosmétiques se serait dit prêt à racheter la participation de Nestlé (29,5%).

Se distinguant aussi sur le CAC40, Saint-Gobain gagne 1% à 35,5 euros dans le sillage d'un relèvement de recommandation de Crédit Suisse de 'neutre' à 'surperformance', dans une note consacrée au secteur européen des matériaux de construction.

Wall Street

Wall Street ne parvient pas à repartir à la hausse

Stocks Drop Sharply, Dow Dips Below 14,000
Crédit Photo : MICHAEL NAGLE/AFP
La Bourse de New York évolue en légère baisse, ce vendredi, pâtissant d’indicateurs qui reflète les signes de faiblesse de la consommation américaine.
La Bourse de New York s’affichait ce vendredi, pâtissant d’indicateurs américains sans éclat à l’orée d’un week-end prolongé: le Dow Jones cédait 0,35% et le Nasdaq 0,80%. En début de soirée, l’indice vedette Dow Jones Industrial Average lâchait 51,55 points à 14.789,40 points et le Nasdaq, à dominante technologique, 29,09 points à 3.591,21 points. L’indice élargi Standard & Poor’s 500 reculait de 0,38% (- 6,18 points), à 1.631,99 points. Wall Street sera en effet fermée lundi pour cause de «Labor Day», férié aux Etats-Unis.
L’enthousiasme des investisseurs a été également freiné par des indicateurs reflétant des signes de faiblesse sur le front de la consommation aux Etats-Unis, considéré comme le principal moteur de la croissance dans le pays.
Selon des données publiées par le département du Commerce, les dépenses de consommation des ménages ont en effet grignoté seulement 0,1% en juillet, en rythme annualisé et en données corrigées des variations saisonnières, marquant une brutale décélération par rapport à l’avancée de 0,6% en juin.
De mauvaise augure pour la suite: le moral des ménages américains a reculé en août après avoir fortement en juillet, selon l’estimation finale de l’indice de confiance des consommateurs publiée par l’Université du Michigan. Ce niveau reste toutefois supérieur à la première estimation publiée mi-août et aux prévisions des analystes qui tablaient tous deux sur un recul plus marqué.

Les inquiétudes liées à une intervention en Syrie s’apaisent

Parallèlement, les inquiétudes liées à une éventuelle intervention militaire emmenée par les Etats-Unis contre la Syrie ont continué à s’apaiser après le refus d’autres puissances mondiales, notamment la Grande-Bretagne, d’y participer. Mais le rejet par le Parlement britannique d’une action militaire «n’a pas éloigné tous les risques liés à la Syrie», a remarqué Patrick O’Hare de Briefing.com.
Parmi les valeurs du jour figurait le conglomérat General Electric, qui cédait 0,09% à 23,09 dollars. Selon des informations de presse, le groupe travaille à une mise en Bourse de ses activités américaines de crédit à la consommation, qui pourrait intervenir dès le début de l’année prochaine.
Le groupe pétrolier Apache bondissait de son côté de 7,24% à 84,33 dollars après l’annonce de la vente de 33% de ses opérations en Egypte à la compagnie chinoise Sinopec pour 3,1 milliards de dollars.
Dans le secteur des technologies, la société spécialisée dans l’informatique dématérialiséeSalesforce.com s’affichait également en nette hausse, de 13,70% à 49,63 dollars, après l’annonce de résultats trimestriels et de prévisions supérieures aux attentes.
Splunk, une compagnie proposant des solutions de gestion des données, profitait également de ventes supérieures aux prévisions et d’une perte moins mauvaise qu’attendu (+11,43% à 54,51 dollars).
Le titre du réseau social Facebook s’adjugeait pour sa part 0,56% à 41,51 dollars alors que les analystes de Stifel ont relevé leur estimation de l’action à 50 dollars.

Oro

L’or dopé par le conflit syrien

L’or pourrait chuter à nouveau lors de la contraction monétaire américaine.
Alors que le Proche-Orient est sous tension, les investisseurs se tournent vers l’or, ultime valeur refuge qui frise les 1400 dollars. Les experts estiment toutefois que la tendance de fond reste baissière.
Les grandes puissances occidentales tergiversent au sujet d’une intervention militaire en Syrie, ce qui a impacté le cours de l’or qui a flambé à des niveaux records lors des derniers jours. Entre le 26 et le 28 août, il a gagné 2% avec un pic à 1433 dollars l’once. En ces temps de troubles géopolitiques, les investisseurs placent leurs capitaux sur le métal précieux qui constitue une valeur refuge. L’argent a également grimpé de 2,6% à 25.1 dollars l’once.
Le marché haussier de l’or semble être animé d’un élan qui ne s’essouffle pas. Après une chute spectaculaire depuis septembre et un plancher atteint le 27 juin, le cours du métal a gagné autour de 20% au cours de l’été. Il peut ainsi être officiellement qualifié de marché haussier, dont la définition est une hausse d’au moins 20% sur une période de temps restreinte. Quant à l’argent, il a gagné près de 40% depuis juin. Pour Harry Tchilinguirian, à la tête de la stratégie sur les matières premières chez BNP Paribas: «Depuis juillet, si les investisseurs se sont progressivement réfugiés sur l’or, c’est essentiellement parce qu’ils craignent une crise profonde sur les marchés émergents. L’Inde et le Brésil sont dans une situation délicate, et ils font partie des piliers du monde émergent symbolisés par l’acronyme BRICS.».
Il ajoute que le deuxième facteur est le contexte géopolitique international. La crise syrienne abrasive a dopé la demande en métaux précieux. Les investisseurs s’empressent de mettre leurs deniers à l’abri. La menace d’une grève des miniers sud africains qui exigent une revalorisation de leur salaire de base inquiète également les investisseurs car cela pourrait générer une contraction de l’offre.
Difficile pourtant de parier à plus long terme sur cette tendance à la hausse, alors que l’or a dégringolé pendant la majeure partie de l’année. Le marché pourrait connaître à nouveau une baisse lors de la réduction à venir du rachat d’obligations américaines par la Fed (le «tapering» dans le jargon financier).
Historiquement, le cours de l’or est fortement corrélé à la politique monétaire américaine. Les investisseurs ont tendances à aller chercher de l’or en tant que monnaie de substitution lors des périodes d’expansion monétaire, qui dévalorisent le dollar. Au contraire en temps de contraction monétaire, le dollar se revalorise et fait concurrence à l’or en tant que valeur refuge. Pour Harry Tchilinguirian: «Le rebond de l’or a actuellement atteint un niveau technique de résistance qui sera difficile de franchir. Par contre, l’or devrait baisser à plus long terme avec une réduction, puis une fin éventuelle du programme d’achat d’actif (QE3) par la Federal Reserve.».
Aujourd’hui, les tensions syriennes se sont légèrement appaisées, ce qui a engendré une inflexion à la baisse du métal de -0,7% qui est passé légèrement en dessous de la barre des 1400 (1 398). Barack Obama n’a pas encore déterminé la date d’une hypothétique frappe, différée, et le parlement britannique s’est opposé à toute intervention militaire.

KPN

América Móvil dispuesta a negociar la compra de KPN

La operadora holandesa ha ejercido su derecho al voto de los accionistas para evitar una opa hostil del mexicano Carlos Slim



El empresario mexicano Carlos Slim. / EFE
América Móvil, principal operadora latinoamericana, sigue interesada en la holandesa KPN “tiene buenas intenciones, y es conocida su visión a largo plazo”. Sin embargo, “está también preparada para retirar su oferta pública de adquisición (opa), si la Fundación Acciones B Preferentes, mantiene su actual posición”. Estos son los términos del comunicado emitido por la firma mexicana, propiedad del empresario mexicano Carlos Slim, en respuesta a la decisión de la Fundación de evitar la compra (del 70,3% de su capital) ejerciendo su derecho al voto del 49,9% de los accionistas. Con ello impedirá que Slim consiga más del 50% de los derechos de voto de KPN.
Creada en 1994 para “defender la identidad, continuidad e independencia”, la Fundación asegura haber tomado esta decisión “en interés de KPN y de sus clientes, empleados, accionistas y de nuestra sociedad en su conjunto”. Sus responsables sostienen que América Móvil ha optado por el camino de una opa hostil, “sin intentar siquiera acordar un protocolo de fusión con KPN”. Su deseo es que la compañía de Slim negocie a partir de ahora conforme a las reglas y prácticas establecidas en Holanda. Y que lo haga “tanto con la dirección de la operadora como con el Gobierno holandés”.
El paso dado por la Fundación se ha producido poco después de que el comité de empresa holandés pidiera al Parlamento, y al Ejecutivo, “que ejerzan su influencia para evitar la compra”, en palabras de Sjaak Slingerland, representante oficial de los trabajadores. “Necesitamos una solución estructural para KPN. El Gobierno debe ayudar con leyes que protejan adecuadamente”, ha dicho.
En mayo de 2012, América Móvil ofreció 8 euros por cada acción de KPN para hacer con un 28% del total. El pasado agosto, se había asegurado la financiación necesaria para lanzar la oferta de compra por el resto del capital por 2,40 euros por acción. El importe total de la nueva operación suma 7.177 millones de euros. Mientras Slim buscaba sus avales, KPN optaba por vender su filial alemana, E-Plus, a Telefónica. Dicha transacción, que le reportará unos 5.000 millones de euros en efectivo, debe ser sometida a votación el próximo 2 de octubre durante una junta extraordinaria de accionistas.


jeudi 29 août 2013

Crecimiento

Selon le Département du commerce, la croissance au deuxième trimestre est désormais de 2,5 % en rythme annuel, en progression de 0,8 point par rapport à la dernière estimation officielle.




Une nouvelle encourageante pour les États-Unis. La croissance américaine a été fortement révisée à la hausse au deuxième trimestre. Selon le département du Commerce, elle est désormais de 2,5 % en rythme annuel, en progression de 0,8 point par rapport à la dernière estimation officielle. Ce résultat s'explique par la meilleure tenue des échanges américains (exportations en hausse et importations en baisse) et par un regain des reconstitutions de stocks et des dépenses des entreprises.
Une légère déception vient toutefois du ralentissement confirmé de la hausse de dépenses de consommation d'avril à juin, par rapport au trimestre précédent. Le gain n'est finalement que de 1,8 %, contre 2,3 % de janvier à mars. Les autorités y voient l'effet des hausses d'impôts décidées au printemps. La hausse des dépenses immobilières reste quant à elle considérable, à près de 13 % en rythme annuel. Un moteur à lui seul responsable d'un cinquième de la croissance américaine au printemps.
Dans ce contexte les marchés considèrent que la banque centrale des États-Unis est bien partie pour réduire dès le mois de septembre ses achats controversés mensuels de 85 milliards de dollars de dette publique à long terme. Décidés en septembre dernier pour maintenir des taux d'intérêt artificiellement bas et ainsi contrer le risque de déflation et de récession, ces achats semblent moins justifiés. Les nouvelles inscriptions au chômage ont par ailleurs reculé, conformément aux attentes des analystes. Sur un an, elles affichent une chute de 11,7 %, un autre signe de la reprise outre-Atlantique.

Indices


MARKET OVERVIEW
FTSE MIB16.905,15+0,97%
FTSE 1006.483,05+0,82%
DAX 308.194,55+0,45%
CAC 403.986,35+0,65%
SWISS MARKET7.763,55-0,16%
S&P 5001.634,96+0,27%
NASDAQ3.632,01+1,08%
HANG SENG21.704,78+0,84%

Italia

Asta Btp passata senza scossoni.
Il Pil americano supera le attese

Il Tesoro fa il pieno in asta: leggero rialzo dei tassi sui cinque anni, stabili sui dieci. Spread a 250 punti, Piazza Affari chiude in rialzo di un punto. Giornata ricca di dati: stabile la disoccupazione tedesca, Pil americano oltre le attese. Petrolio e oro ritracciano dai massimi toccati sulla crisi siriana, recuperano le Piazze asiatiche: Tokyo +0,9%

di RAFFAELE RICCIARDI
MILANO - Il governo italiano ha scansato temporaneamente lo scoglio dell'Imu, trovando un accordo che permette all'esecutivo di Enrico Letta di sopravvivere fino alla prova definitiva, legata al destino politico e giudiziario di Silvio Berlusconi. Certo, non mancano le polemiche e la stessa Unione Europea ha acceso i fari sugli equilibri di bilancio italiani, ma nel frattempo il governo incassa un buon dividendo dai mercati, nonostante sia di fatto solo rimandato il tema spinoso della copertura per la seconda rata della tassa sulla casa; gli investitori avevano però temuto per alcuni giorni la rottura definitiva a Roma. Il Tesoro riesce così a chiudere un'asta di Btp senza registrare particolari scossoni.

A livello internazionale, invece, si continua a guardare agli sviluppi in Siria. I mercati hanno preso oggi una pausa dai trend che hanno caratterizzato gli ultimi giorni di scambi, ma il clima resta incerto. Così, il petrolio e l'oro ritracciano dai picchi recenti (per l'oro nero si è trattato dei massimi da due anni), la rupia riguadagna terreno sull'idea indiana di vendere dollari agli importatori di petrolio, mentre le azioni asiatiche centrano una giornata positiva dopo tre giorni di ribassi.

In Europa i principali listini hanno chiuso in rialzo: Francoforte ha guadagnato lo 0,45%, Parigi lo 0,65% e Londra lo 0,82%. La migliore è stata Piazza Affari, con il Ftse Mib che ha terminato gli scambi in rialzo dello 0,97%. Mediaset è stata al centro degli acquisti, accompagnata da TelecomFerragamo e dalle banche come Banca Ifis, che ha pubblicato una semestrale con utile in crescita del 17% a 44 milioni. Exor ha chiuso tra i titoli peggiori nonostante il maxi-utile legato alla cessione della svizzera Sgs.

Lo spread tra Bpt e Bund tedeschi ha oscillato intorno a 250 punti base per chiudere poco sopra, con un rendimento dei decennali italiani al 4,37%, mentre quello dei Bonos spagnoli è più alto di un decimo di punto percentuale. Il Tesoro ha venduto 2,5 miliardi del Btp a dieci anni, raggiungendo l'ammontare massimo prefissato. I tassi sono risultati stabili al 4,46%, mentre sono cresciuti dal 3,22 al 3,38% (massimo da giugno) sui 3,5 miliardi di titoli a cinque anni. Qualche incertezza si è registrata nella domanda: il rapporto di copertura è sceso sul titolo a cinque anni a 1,22 ( da 1,36), mentre sul decennale è salito a 1,52 (da 1,32). L'euro chiude in calo sotto quota 1,33 dollari: la moneta unica passa di mano a 1,3222, con il biglietto verde sospinto dai buoni dati sull'economia Usa.

L'agenda macroeconomica era infatti fitta di appuntamenti. In Italia, l'Istat ha certificato la ripresa dellafiducia dei consumatori, così come sale quella delle imprese. Reazione positiva anche in Francia, dove la fiducia delle imprese è salita a 98 punti ad agosto contro attese per una conferma di quota 95. InGermania, il tasso di disoccupazione è rimasto stabile al 6,8% ad agosto in linea con le attese; anche l'inflazione è rimasta stabile all'1,5%. La Spagna ha invece registrato una contrazione annua del Pil dell'1,6% nel secondo trimestre, mentre l'inflazione è scesa all'1,5% tendenziale ad agosto. Negli Stati Uniti si è evidenziata la crescita oltre le attese del Pil: il dato del secondo trimestre è stato rivisto dal +1,7% al +2,5%, contro aspettative per un +2,2%. In linea con le previsioni le richieste di sussidi per la disoccupazione, a quota 331mila nell'ultima settimana. Dati che daranno anche una direzione ai banchieri centrali della Fed per decidere il ritmo del "tapering", la diminuzione degli stimoli straordinari.

Wall Street, reduce da una giornata di rialzi nonostante i timori per la Siria, non si preoccupa del fatto che la crescita del Pil possa accelerare il disimpegno della Federal Reserve. Alla chiusura dei mercati Ue il Dow Jones sale dello 0,5%, lo S&P 500 dello 0,6% e il Nasdaq di un punto percentuale. In mattinata, La Borsa di Tokyo ha rimbalzato dai minimi di giugno, chiudendo in rialzo dello 0,91%. In Giappone si è registrata però la battuta d'arresto delle vendite al dettaglio, calate a luglio dello 0,3%: si tratta del primo ribasso in tre mesi. Chiusura in leggero calo, invece, per le Piazze cinesi.

Come accennato, le materie prime ritracciano dai massimi. Mentre in Europa terminano le contrattazioni, ilpetrolio si allontana dai massimi del maggio 2011 toccati ieri sulla scia di tensioni geopolitiche: il contratto Wti a ottobre cede lo 0,7% a 109,3 dollari al barile. Continua l'indebolimento dell'oro: i future a dicembre scivolano di quasi un punto percentuale poco sopra quota 1.400 dollari l'oncia.
(29 agosto 2013)

Mercados emergentes


La era de la especulación en los mercados emergentes masticada llega a su fin y los inversores se centrará en los fundamentos de estas economías. Buenas noticias para la rápida reforma de China .
Si bien los indicadores económicos en los países emergentes como India o Turquía pánico ante la proximidad de la decisión de la Fed de reducir sus compras de bonos (el " estrechamiento " en la jerga financiera) , China resiste de alguna manera a temblar. Entre el 27 de junio y hoy, el Shanghai Composite ha subido casi un 8 % y el Hong Kong Stock Exchange a través de 6,5 %. Los resultados provisionales de las empresas son alentadores . 56,7 % de las empresas chinas han publicado sus resultados en la segunda mitad vencieron el consenso de los analistas . Mucho más alto que otro tipo de economías de Asia , según un informe de la firma de corretaje CLSA . Finalmente, en agosto , los chinos PMI flash, el índice de gerentes de compras calculado por HSBC , un récord en cuatro meses a 50,1 . Esta cifra indica expansión en el sector manufacturero , ya que supera el umbral crítico del 50 .

Para el Dr. Xueming Song, gerente de cartera y especialista en mercados emergentes de Deutsche Asset y Wealth Management ( la filial de gestión de activos de Deutsche Bank) : "China será poco afectado por el estrechamiento , porque tiene un superávit comercial , a diferencia de otros países emergentes. Esto le permite no depender del capital extranjero para pagar las importaciones . También cuenta con el capital extranjero limitada entrar en los mercados financieros. " . "China no debería verse afectada directamente por la política monetaria expansionista de Japón, como el yuan no es de libre flotación ". Añade cristianos Déséglise expertos mercados emergentes de HSBC. " El año que viene será relativamente estable para China. " Concluye la Dra. Xueming canción .

Deutsche Asset y Wealth Management tampoco ha apartado de sus fondos de capital en China enfoque se estrecha e invierte en el mercado de valores en el establecimiento de Shanghai, el banco considera que están infravalorados . Igual razonamiento para Christian Déséglise , que establece que " las acciones chinas representan 1,3 veces el valor contable de las empresas , en contra de dos de los países más desarrollados. " . Añade que HSBC también es positivo en el mercado de bonos chino - cuyas tasas a diez años se encuentran actualmente en bastante alto en torno al 4 % - . " Se espera que para atraer la inversión extranjera en el contexto de la normalización del país " y .

Sin embargo, las debilidades subyacentes permanecen . " La participación del consumo en el PIB es de sólo el 37 %, mientras que la inversión demasiado alta, es del 45% . Los chinos ahorrar el equivalente a 55 % del PIB. ", Dice Christian Déséglise . Es una economía de desequilibrio , "el 60 % de la creación de crédito se realiza por el sistema bancario en la sombra . Las ciudades y regiones están particularmente agradecidos . " . Sin embargo , la luz brilla al final del túnel, ya que China ya ha iniciado una serie de reformas por el primer ministro Li Keqiang , destinado a apoyar el consumo y la liberalización de la economía. " El crecimiento del 7,5 % previsto para 2013 es de un piso para el Gobierno, que garantizará el apoyo a la economía no pasa por debajo . ", Dice Christian Déséglise . Funcionarios de alto rango del Partido Comunista de China debe apoyar en noviembre un programa de reformas económicas " amplias y exhaustivas " .

No choque , pues, sino una transición de fondo económico. En la era del fin de la especulación desenfrenada de los mercados emergentes , los inversores se centrarán principalmente en las economías emergentes cuyos fundamentos son relativamente fuertes . China está en camino . Las perspectivas de mejora de su núcleo es su mejor activo.

crecimiento


EE UU eleva al 2,5% el crecimiento de su economía durante el segundo trimestre

El país avanza ocho décimas más respecto al dato anticipado hace un mes



Empleados trabajan en la planta de Ford de Chicago. / EFE
Estados Unidos revisó al alza el ritmo con el que se expandió su economía en el segundo trimestre, a una tasa anualizada del 2,5%. Eso supone un incremento de ocho décimas respecto al dato anticipadohace un mes por el Departamento de Comercio; y eleva el repunte en más del doble si se compara con el 1,1% registrado en el primer trimestre. Aún siendo un avance sólido, está por debajo del crecimiento potencial.
Se trata de la segunda lectura del indicador, pendiente de una tercera para ser definitiva. Wall Street esperaba una revisión al alza, hasta el 2,3%. El dato podría dar más argumentos a los miembros de la Reserva Federal con ansias de empezar a reducir los estímulos cuanto antes. La gran mayoría comparte que debería suceder a final de año. Pero la mitad quiere dar el paso con cautela.

Precisamente uno de los motivos por los que la economía no rinde mejor es por el lastre fiscal, ya que la falta de acuerdo en el presupuesto obligó a acometer una serie recortes en el gasto público. El crecimiento medio de EE UU está en el 3,3%, pero necesita hacerlo cerca del 5% para tener un efecto real en el paro, que en julio bajó al 7,4% por una contracción del mercado laboral.Ahora, además, contribuyen a elevar la incertidumbre la tensión geopolítica por Siria y el bloqueo de la negociación fiscal en Washington, que amenaza con dejar al Gobierno de EE UU sin efectivo para operar ya a mediados de octubre. Pero como señalan desde la Reserva Federal, será la evolución de los datos económicos los que determinarán movimientos futuros.
El detalle del indicador del PIB muestra que gran parte de la revisión se atribuye a una mejora de la balanza comercial. Las exportaciones avanzaron entre abril y junio a un ritmo mayor del previsto, mientras que las importaciones tuvieron un incremento menos. También crecieron los inventarios más rápido de los esperado por el Departamento de Comercio.
El resto de los componentes no variaron mucho, y eso invita a analizar la evolución del PIB con distancia. El consumo privado, del que depende dos tercios de la economía, se mantuvo en un crecimiento del 1,8%. En el primer trimestre lo hizo un 2,3%. El gasto público cayó, entre tanto, un 0,9%, en este caso más del doble de lo que se dijo en la primera lectura.
Aún así, se considera que la economía de EE UU está esquivando mejor de lo esperado el efecto de las medidas fiscales. Pero como dijo el presidente Ben Bernanke, la normalidad está aún lejos. La atención de Wall Street se dirige ahora al dato de paro que se publicará el viernes de la semana próxima, el más importante antes de la próxima reunión de la Reserva Federal.

Mercados

El petróleo se encarece por las incertidumbres en Oriente Próximo

Las multinacionales energéticas ganan y las aerolíneas pierden en las Bolsas mundiales

El barril ‘brent’ alcanza el máximo desde febrero



Bolsa de Yakarta, en Indonesia. / BEAWIHARTA (REUTERS)
Las tensiones en Oriente Próximo ante el inminente ataque de Estados Unidos y sus aliados a Siria han impulsado el precio del petróleo a máximos de dos años. Cada vez que hay una intervención militar en la zona, donde están las mayores reservas de crudo del mundo, aumenta la inquietud ante posibles restricciones de suministro.
“La preocupación es que un ataque contra Siria tenga repercusiones en toda la región, lo que aumentaría el contagio a otros países y, posiblemente, puede derivar en una interrupción del suministro en otro lugar más importante”, ha asegurado este miércoles Michael Wittner, de Societe Generale, a Bloomberg. En realidad, las reservas de crudo de Siria son limitadas, representan el 2,5% del total, según datos del último boletín de la Organización de Países Productores y Exportadores de Petróleo (OPEP). No obstante, la incertidumbre por una posible escalada de las tensiones políticas en la zona —hay inquietud por el papel de Irán y las consecuencias en Irak— favorece el aumento de la cotización del crudo.

El West Texas Intermediate (WTI), el índice usado en Estados Unidos, ha registrado el nivel más alto en dos años. No marcaba los 110 dólares desde mayo de 2011, cuando el miedo a que la crisis de la deuda soberana de los países del euro se extendiera a EE UU recorría los mercados. Al final ha cerrado en 109 dólares, con una subida del 2,92%.El precio del barril de brent, de referencia en Europa, ha alcanzado a mitad de la sesión los 117 dólares, el mayor nivel en seis meses. Al final ha cerrado en 115,5 dólares, lo que supone una subida del 1,1% sobre la sesión anterior y encadena una subida del 6% en dos jornadas. Los analistas creen que el precio del petróleo brent podría alcanzar la cota de los 150 dólares el barril si la situación se complica en Oriente Próximo, según un informe de Societé Generale.
El encarecimiento del precio del petróleo ha provocado pérdidas en las compañías aéreas y espoleado los beneficios de las petroleras de todo el mundo. Las grandes favorecidas son las gigantes estadounidenses Chevron y Exxon Mobil, que se han anotado subidas de más del 2% y se han convirtido en los valores que más subieron en la Bolsa de Nueva York (Dow Jones).
Mientras tanto, las aerolíneas han acumulado pérdidas. La irlandesa Aer Lingus se ha dejado un 4,12% al cierre de la sesión, la alemana Lufthansa un 3,19%, Air France KLM un 2,92% y la americana AMR Corporation, matriz de American Airlines, caía un 2,25% a media sesión. En el parqué madrileño, IAG se ha contraído un 3,85%.

Los principales índices bursátiles de EE UU han abandonado los números rojos de las jornadas anteriores y han quedado a la espera de la evolución en Oriente Próximo. “El martes fue un poco exagerado, pero los inversores deben estar preparados para asumir que habrá volatilidad durante un tiempo”, ha asegurado a Bloomberg Ron Florance, ejecutivo de Wells Fargo Private Bank.La subida del petróleo, que se dejará notar enseguida en el precio de los combustibles a nivel local, puede suponer un obstáculo para la incipiente recuperación económica que parece vivir la eurozona tras encadenar varios trimestres de anemia económica causada a raíz de la crisis financiera de 2008. Una de las posibles consecuencias para España si se prolonga mucho la situación es que los precios subirán por encima de lo previsto, lo que perjudicará al consumo y a las cuentas públicas.
En Europa, las Bolsas también se han mantenido a la expectativa sin grandes vaivenes. El selectivo español se ha anotado un 0,05%impulsado por las principales compañías energéticas y de construcción. Repsol ha subido un 3,19%; FCC, un 3,16%, y Sacyr, un 2,44%.