vendredi 30 mars 2012

La visión está sostenida en la generación de soluciones inteligentes.

La OCDE pronostica que la economía alemana esquivará la recesión

EE UU mantendrá un ritmo de crecimiento cercano al 3% en la primera mitad del año

El organismo internacional advierte que la recuperación en Europa es frágil

Los precios del petróleo y la ralentización de los emergentes, principales amenazas


Los indicadores adelantados de la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económico (OCDE) ya anticipaban una mejora en las perspectivas económicas de los países avanzados después del verano. Ahora, su primer informe de previsiones del año, limitado al G-7, revela que esa mejora echa raíces en la primera mitad de 2012, singularmente en Alemania y EE UU. La economía alemana, según el vaticinio del club de países ricos, esquivará la recesión. Y la estadounidense mantendrá un ritmo de crecimiento apreciable, cercano al 3%.

Las nuevas previsiones de la OCDE enfatizan la divergencia, cada vez más apreciable, entre las economías norteamericanas y europeas. Si en el primer semestre (el análisis no va más allá), EE UU y Canadá crecerían a un ritmo anual superior al 2,5%, las tres principales economías de la zona euro (Alemania, Francia e Italia) apenas logran escapar de los números rojos. En Japón, la comparación está condicionada por los efectos del terremoto y el accidente nuclear de Fukushima, en marzo de 2011.

El informe destaca la divergencia entre las economías europeas y las norteamericanas

En Europa, la situación económica es también divergente. Alemania, que mantiene buenas cifras de empleo, va por delante. Según la OCDE, al decrecimiento en el trimestre final de 2011, le sucederá un minúsculo avance entre enero y marzo, para iniciar la recuperación en primavera. El PIB de Francia, la única que había evitado la recaída en los últimos meses del año pasado, retrocederá mínimamente en este primer trimestre, para retomar el crecimiento en el segundo. Italia, sin embargo, encadenará un año en recesión. Y Reino Unido enlazará dos trimestres en números rojos, el mínimo estadístico para considerar que una economía ha entrado en un periodo contractivo.


En general, el vaticinio de la OCDE es más optimista que en ocasiones anteriores. Los expertos del club de los países ricos recogen la buena evolución de los mercados financieros en el arranque del año (aunque no los titubeos de las últimas semanas) y el impacto de algunas decisiones en Europea, como el segundo rescate a Grecia o las subastas del BCE, para concluir que la incertidumbre es ahora “menor que en otoño”.

En el apartado de riesgos, aún muy abultado, para la incipiente recuperación, la OCDE recalca que la situación en la zona euro es todavía “muy frágil”. El informe insiste en reclamar una ampliación del fondo de rescates y que se mantenga la política monetaria expansiva, con tipos de interés bajos. También advierte de la amenaza que suponen la elevada cotización del petróleo y la ralentización de algunas economías emergentes, como China, para la que también recomienda políticas de estímulo.

Poco después de publicarse el informe de la OCDE se dio a conocer la última lectura del dato de crecimiento en el cuarto trimestre de Estados Unidos. La mayor economía del planeta se expandió a una tasa anualizada del 3% del PIB, sin cambios respecto a lo anticipado hace un mes en la segunda estimación y casi el doble que el 1,8% del tercero.

El crecimiento en EE UU fue ganando vigor de forma gradual a lo largo del pasado año, tras rozar la contracción en el primer trimestre. Para el conjunto del ejercicio queda en el 1,7%, frente al 3% de 2010 y muy por debajo de su crecimiento potencial. Ben Bernanke, presidente de la Reserva Federal, dijo el lunes que se necesita más para una mejora sostenible en el mercado laboral.


La visión está sostenida en la generación de soluciones inteligentes.

Indices

LibelléDernierVarVar 1 janv
CAC 403423,81+1,26%+7,00%
CAC All-Tradable2573,29+1,25%+8,40%
Dow Jones13203,68+0,44%+7,60%
Euronext 100642,31+1,14%+7,12%
Nasdaq Composite3098,86+0,11%+18,82%
Nikkei10083,56-0,31%+19,26%
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Zone euro : accord pour un pare-feu à 800 milliards

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Par Jean-Jacques Mevel Mis à jour | publié

Les ministres européens des Finances, réunis à Copenhague, sont parvenus à un compromis entre les exigences de Berlin et de Paris, qui réclamait un pare-feu de 1000 milliards d'euros.

Les dix-sept pays de l'euro se sont mis d'accord vendredi pour relever de 500 à 800 milliards d'euros leur «pare-feu» contre la crise financière. L'Allemagne a lâché du lest, mais le compromis est loin de répondre aux attentes de la Commission européenne, du FMI et de l'OCDE.

L'enveloppe, qui représente une capacité théorique de prêts, recouvre trois composantes: 500 milliards à venir pour le Mécanisme européen de stabilité (MES) qui verra le jour en juillet, 200 milliards déjà engagés par le fonds temporaire établi en 2010 (FESF) et 100 milliards de prêts divers déjà dépensés ou promis dans l'UE.

Cette architecture compliquée - et peut-être discutable parce qu'elle mêle avenir et passé - permet à chacun d'affirmer qu'il a tenu sa position. Pour l'Allemagne, il était essentiel de ne pas avoir à relever le plafond du MES afin d'éviter un nouveau vote au Bundestag. Wolfgang Schäuble, favori dans la course à la présidence de l'Eurogroupe, a cependant accepté de maintenir en survie pour un an le FESF, ce qui gonfle temporairement le pot commun.

À l'opposé, ceux qui poussaient, tel le Français François Baroin à un chiffre de l'ordre de 1000 milliards, n'ont pas obtenu satisfaction. Discuté à Copenhague, le projet d'une tranche additionnelle de 240 milliards, à utiliser «dans des circonstances exceptionnelles», a disparu de la déclaration finale de l'Eurogroupe. Sur ce point aussi, Berlin a eu gain de cause. Mais la question reste posée de la solidité du nouveau pare-feu en cas d'accident financier majeur, impliquant par exemple l'Espagne ou l'Italie.

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Le CAC finit une semaine morose sur une note positive

L’indice a avancé de 1,26% à la clôture. Les investisseurs ont salué l’accord européen sur un dispositif anticrise à 800 milliards d’euros. Sur la semaine, il perd 1,50% mais avance de 8,35% au premier trimestre.

Les marchés retrouvent le sourire. Ce vendredi, le CAC 40 s’est adjugé 1,26% pour finir la séance à 3423,81points. Paris avait auparavant aligné trois séances dans le rouge. Sur l’ensemble de la semaine, le bilan reste d’ailleurs négatif, avec une perte de 1,51% pour le CAC 40. Mais sur le premier trimestre, l’indice grimpe de 8,35%.

Les autres grandes places européennes ont également terminé dans le vert. Francfort a gagné 1,04% et Londres 0,46%. La Bourse de New York était sur la même tendance. En séance, le Dow Jones avançait de 0,40% et le Nasdaq de 0,14%. Pour les spécialiste de DA Davidson «la Bourse de New York achève son meilleur trimestre depuis 1998», avec une progression de près de 12% de l’indice large Standard & Poor’s 500.

Les marchés d’actions saluaient l’accord sur le pare-feu européen. Les ministres des Finances de la zone euro ont décidé de relever à 800 milliards d’euros le dispositif anticrise. Un montant qui résulte du cumul entre les 500 milliards d’euros du futur Mécanisme européen de stabilité (MES) et des 200 milliards d’euros déjà engagés par son prédécesseur le Fonds européen de stabilité financière (FESF), auxquels s’ajoutent les prêts bilatéraux à la Grèce et les fonds dégagés par l’Union européenne en faveur de pays en difficulté.

Après un répit de quelques semaines, les craintes sur la situation en zone euro étaient de retour ces derniers jours. L’OCDE a pointé du doigt une reprise à deux vitesse, avec une Europe toujours à la traîne des États-Unis. À Paris, les valeurs bancaires ont été parmi les principales victimes de la chute des marchés sur les cinq derniers jours. Le Crédit agricole perd 6,61% sur la semaine, BNP Paribas cède 5,02% et Société générale 8,23% sur la même période. Les valeurs cycliques ont également souffert à l’image de Peugeot ou Saint Gobain qui perdent respectivement 6,32% et 4,27% sur la semaine. Total qui fait face depuis lundi soir à une fuite de gaz sur l’une de ses plates-formes en mer du Nord cède 6,14% en cinq jours. Seules quelques valeurs défensives terminent la semaine en hausse, avec L’Oréal qui avance de 4,52% sur les cinq derniers jours, Essilor international (+2,44%) ou Danone (+2,19%).

Les valeurs à suivre

Crédit Agricole (+0,91 % à 4,66 euros). La banque a annoncé hier avoir engagé de nouvelles discussions avec le courtier chinois Citic Securities pour lui vendre l’intégralité de sa filiale de courtage CLSA et non plus uniquement une participation de 19,9 % comme initialement prévu.

Casino (+2,04 % à 73,90 euros) a annoncé hier que sa filiale thaïlandaise Big C procéderait à une augmentation de capital par placement privé d’environ 100 millions d’euros, alors que le distributeur français tablait sur une opération de près de 600 millions pour rembourser sa dette d’acquisition. Le groupe de distribution a aussi annoncé qu’il proposerait à ses actionnaires de ne pas renouveler les mandats d’administrateurs d’Abilio Diniz, son partenaire brésilien, et Philippe Houzé, président du directoire des Galeries Lafayette.

Total (+1,18 % à 38,27 euros). L’agence de notation financière Moody’s a fait savoir qu’elle suivait de près la situation du pétrolier après la fuite de gaz naturel survenue sur sa plate-forme d’Elgin, en mer du Nord. Ce matin, le ministère de l’Énergie a fait savoir que la torchère sur la plateforme restait allumée mais que sa taille se réduisait, et que le groupe envisageait de l’arroser par hélicoptère et bateau pompier.

Maurel & Prom (+1,50 % à 13,22 euros) a publié hier soir des résultats annuels en nette hausse, grâce notamment à des cessions d’actifs, et a indiqué qu’il allait accroître ses efforts en matière d’investissements en 2012.

Sanofi-Aventis (+1,39 % à 58,34 euros). Le titre pourrait souffrir des prévisions d’IMS Health, qui anticipe une baisse en valeur de 2 % en 2012 du marché français des médicaments remboursables. C’est la première fois que le secteur entrerait fois en récession, affecté par les mesures d’économies prises par le gouvernement.

Theolia (-8,77 % à 1,04 euros) a annoncé hier une amélioration de ses performances opérationnelles en 2011, mais le spécialiste français de l’éolien a dû procéder à des dépréciations d’actifs qui ont aggravé sa perte nette.

EADS (+1,45 % à 30,76 euros). La maison mère d’Airbus pourrait profiter de l’annonce ce matin par l’avionneur d’une première vente d’un jet d’affaires (un ACJ 319) au Japon. Par ailleurs, la compagnie aérienne Avianca a indiqué hier par la voix de son propriétaire German Efromovich, avoir l’intention d’étoffer sa flotte de 50 appareils dans les cinq prochaines années.

Eurofins Scientific (+7,30 % à 81,55 euros). Le spécialiste de l’analyse des produits alimentaires et pharmaceutiques annonce ce matin qu’il proposera lors de sa prochaine assemblée générale un quadruplement de son dividende, à 0,80 euro. Le groupe relève également de 900 à 950 millions d’euros son objectif de chiffre d’affaires pour 2012.

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Unnim, adquirida por BBVA, no pagará intereses por sus preferentes

La entidad se escuda en los números rojos de 2011 para no retribuir a sus clientes.

Unnim suspende el pago de intereses de diversas emisiones de participaciones preferentes y de obligaciones subordinadas. Así se lo ha comunicado hoy la entidad a la Comisión Nacional del Mercado de Valores (CNMV). "De acuerdo con los folletos de las emisiones, que prevén la suspensión del pago de intereses en el supuesto de que la entidad no obtenga beneficios durante el semestre natural anterior, y teniendo en cuenta la previsión de resultados del segundo semestre de 2011, comunicada al Banco de España por Unnim, queda en suspenso a partir de este momento el pago de los cupones", explica la entidad.

Unnim, fruto de la unión de Caixa Sabadell, Terrasa y Manlleu, fue nacionalizada por el Gobierno. Posteriormente se la adjudicó en subasta al BBVA, que pagó un euro y asumió riesgos por morosidad por unos 1.200 millones en la peor situación. En la operación se acordó, además, que el Fondo de Garantía de Depósitos (formado con las aportaciones de bancos y cajas) asumiera el pago de 953 millones al Fondo de Reestructuración Ordenada Bancaria (FROB).

Además de los 953 millones, que es el mínimo de capital, el FGD concedió al BBVA un segundo soporte: un esquema de protección de activos (EPA) a 10 años, es decir, un colchón ante posibles créditos morosos. La cartera de activos inmobiliarios protegida asciende a 6.000 millones, según fuentes del FROB. De ellos, el Fondo de Garantía asumirá el 80% de las pérdidas y el BBVA el 20% restante. Es decir, el FGD aceptará pérdidas potenciales por 4.800 millones en promotores, suelo y construcción, mientras que el BBVA asumiría un riesgo de 1.200 millones si no se recuperara ningún crédito, circunstancia poco probable, aunque una parte de esas cifras se absorbería con las provisiones existentes. El BBVA admite unos 1.000 millones de riesgo en esta compra.

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El Eurogrupo aprueba elevar a 700.000 millones el cortafuegos para la deuda

Alemania vuelve a imponer sus tesis sobre el aumento limitado del fondo de rescate

Los ministros del euro confían en que “llevará a una mejora significativa" en los mercados

Los mandatarios retrasan el nombramiento en el BCE hasta mediados de abril

Los ministros de Economía de Bélgica, Steven Vanackere, y España, Luis de Guindos, junto al comisario europeo del ramo, Olli Rehn. / KELD NAVNTOFT (AFP)

Los socios europeos han aprobado reforzar el cortafuegos del fondo de rescate hasta 700.000 millones de euros, por debajo de las expectativas del Fondo Monetario Internacional (FMI) y el G-20, por debajo de las expectativas de los mercados y, probablemente, por debajo de la cifra que sería necesaria para un eventual rescate de Italia y España. Reunidos en Copenhague, los ministros de Finanzas de la eurozona acuerdan así un cortafuegos “robusto”, según el comunicado del Eurogrupo, que “llevará a una mejora significativa de las condiciones en los mercados”. Se trata de la versión más light de lo que querían tanto la Comisión como los socios internacionales de la UE. Esa cifra pasará hoy un primer examen en los mercados, que decidirán si el cortafuegos es lo suficientemente convincente.

La cifra definitiva combina el dinero comprometido en los rescates a Grecia, Portugal e Irlanda (unos 200.000 millones) con los 500.000 millones del mecanismo permanente, el dinero fresco que se aporta al cortafuegos y que debería ponerse en marcha en julio. La capacidad efectiva de los dos fondos combinados pasa así de 500.000 millones (la cifra pactada en la cumbre de diciembre) a 700.000 millones. Tanto el FMI como el G-20 solicitaban un incremento de la potencia de fuego del fondo para contribuir con recursos a la solución para la crisis europea. Frente a esos 700.000 millones, el Eurogrupo considera que el fondo de rescate asciende a 800.000 millones, si se suma lo que ya se ha pagado en Grecia.

Los ministros de la eurozona retrasan el nombramiento en el BCE unas semanas

Con los 200.000 millones ya comprometidos para Grecia, Portugal e Irlanda, en el fondo de rescate quedan 500.000 millones para posteriores rescates. Los analistas y los mercados especulan en las últimas semanas tanto con la posibilidad de un segundo rescate a Portugal, cuya prima de riesgo se ha disparado, como a la posibilidad de que España acuda al cortafuegos para recapitalizar sus bancos si se desploman los precios de los pisos, extremo que el Gobierno niega tajantamente.

Los ministros de la eurozona retrasan el nombramiento en el BCE unas semanas Finalmente, los socios han encontrado una solución de compromiso entre Alemania, el primer contribuyente (que no quería elevar ese techo), y la presión de los organismos multilaterales, que querían alcanzar la cifra mágica del billón de euros. El primer pago se pondrá en marcha en julio, y el fondo será plenamente operativo a mediados de 2013. Tanto la OCDE como el FMI reclamaban una cifra en torno al billón. Lo curioso es que esos 700.000 millones de euros, más los 100.000 ya gastados en Grecia, equivalen, poco más o menos, a un billón de dólares.

Por otra parte, el nombramiento en el Banco Central Europeo se retrasa hasta mediados de abril, según Yves Mersch, portavoz del Eurogrupo. Sigue sin haber acuerdo en el sustituto de José Manuel González Páramo, con el luxemburgués como máximo aspirante en las quinielas, y el español Antonio Sáinz de Vicuña aun en la carrera pero con menos posibilidades.

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Bolsas de Europa, con mejor primer trimestre desde 2006

Credito:

Reuters

Francfort- Las acciones europeas subieron este viernes y cerraron el trimestre con un alza de casi 7%, lo que marca el mejor primer cuarto de año desde el 2006, después de que los ministros de finanzas de la zona euro acordaron un impulso temporal a la capacidad de rescate del bloque.

El índice FTSEurofirst 300 de las principales acciones europeas cerró con un alza de 0.9% a 1,069.16 puntos.

El foco de los inversores volvió a la zona euro, donde los ministros de finanzas acordaron un incremento temporal en la capacidad financiera del bloque para contener eventuales nuevas crisis de deuda.

Principales resultados de los mercados de Europa:

  • IBEX de España +1.23%
  • FTSE MIB de Italia +0.45%
  • DAX de Alemania +1.04%
  • FTSE 100 de Inglaterra +0.46%
  • PSI 20 de Portugal 0.45%

NIKKEI HISTÓRICO

El índice Nikkei de la Bolsa de Tokio bajó por tercera sesión consecutiva este viernes, con los inversionistas recogiendo ganancias después de su mejor primer trimestre en 24 años.

Los inversionistas esperan que una serie de acontecimientos globales la semana próxima proporcionen dirección al mercado.

El índice Nikkei cerró con un declive de 31.23 puntos, 0.31%, a 10,083.56 unidades.

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Aumentará UE la capacidad de sus fondos de rescate

Credito:

AFP

Foto: EE Archivo

Copenhague- Los países de la zona euro acordaron este viernes reforzar temporalmente sus cortafuegos anticrisis hasta un tope de 800,000 millones de euros, con la mente puesta en España, que debe explicar cómo hará para alcanzar el déficit que le pide Bruselas.

En una dura pulseada este viernes en Copenhague, los ministros de los 17 países de zona euro acordaron darle al Mecanismo Europeo de Estabilidad (MEDE), que entrará en vigor en julio, "una potencia máxima de 800,000 millones de euros", como pretendía Alemania, indicó este viernes la ministra austriaca Maria Fekter.

Pero esta munición puede resultar insuficiente para los mercados, el FMI y la OCDE, que aconsejó un dispositivo de un billón de euros para proteger la zona euro de un contagio de la crisis de la deuda a países como España o Italia.

La idea es unir los fondos comprometidos del Fondo Europeo de Estabilidad Financiera (FEEF), para los rescates de Grecia, Portugal e Irlanda, y los del MEDE, dotado con 500,000 millones de euros.

La Comisión Europea (CE) y algunos países como Francia tenían un objetivo más ambicioso. Pretendían dar una imagen de extrema solidez ante los mercados elevando el MEDE, el fondo permanente de rescate, a 940,000 millones de euros.

Para ello habían propuesto añadir además los fondos aún no utilizados del FEEF, estimados en 240,000 millones de euros, a modo de reserva y en caso de extrema necesidad.

"Lo que los mercados financieros quieren en primer lugar es que solucionemos nuestros problemas", explicó el ministro alemán Wolfgang Schauble, antes del comienzo de la reunión.

Desde hace meses el Fondo Monetario Internacional (FMI) y los países emergentes del G20, entre ellos Brasil, aumentaron la presión sobre Europa a la que exigían un refuerzo de la munición de los cortafuegos, a cambio de ayuda al continente.

Sobre todo, en momentos en que España se ha convertido en la preocupación número uno de la zona euro. Y este mismo viernes en Copenhague el ministro español, Luis María de Guindos, deberá explicar a sus homólogos cómo piensa hacer para alcanzar la meta de déficit de 5.3% para esta año y del 3% para 2013, como se comprometió con Bruselas.

"Llevamos (a esta reunión en Copenhague) una explicación del presupuesto español", dijo de Guindos.

Este presupuesto basado en la "austeridad", que el gobierno español presenta este mismo viernes en Madrid, "va a convencer" a los socios europeos, aseguró. Varios fueron los dirigentes europeos que expresaron a lo largo de esta semana sus dudas e inquietud sobre la salud de las finanzas y economía de España.

"España está en una situación muy difícil", aseguró el comisario de Asuntos Económicos y Monetarios, Olli Rehn, al llegar a la reunión en la capital danesa.

Durante las negociaciones, también se debatirán los nombramientos de cargos clave en la Unión Europea. Y España aspira a ocupar al menos uno de ellos.

El Eurogrupo podrá finalmente decidir quién ocupará la silla del Comité Ejecutivo del Banco Central Europeo (BCE) que deja vacante el español José Manuel González Páramo. Pero todo indica que el candidato luxemburgués Yves Mersch se impondrá sobre el español Antonio Sáinz de Vicuña, actual director del servicio jurídico del BCE.

En ese caso, España podrá optar a la presidencia del fondo de rescate o a la presidencia del Eurogrupo, aunque esta, según fuentes europeas, parece destinada al ministro alemán, Wolfgang Schauble.

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Ford invertirá 1,300 mdd en planta de Hermosillo

Credito:

Reuters

Foto: AFP

La automotriz estadounidense Ford dijo el viernes que invertirá 1,300 millones de dólares en la ampliación de su planta de estampado y ensamble en la ciudad de Hermosillo, en el norte de México.

La inversión creará 1,000 nuevos empleos en la planta ubicada en el estado de Sonora, que inició operaciones en 1986.

"La inversión nos permite producir el completamente renovado Ford Fusion y el Lincon MKZ", dijo Mark Fields, presidente de Ford Motor Company para las Américas, en un evento al que asistió el presidente Felipe Calderón.

Ford opera otras dos plantas en México.

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Ford invertirá 1,300 mdd en planta de Hermosillo

Credito:

Reuters

Foto: AFP

La automotriz estadounidense Ford dijo el viernes que invertirá 1,300 millones de dólares en la ampliación de su planta de estampado y ensamble en la ciudad de Hermosillo, en el norte de México.

La inversión creará 1,000 nuevos empleos en la planta ubicada en el estado de Sonora, que inició operaciones en 1986.

"La inversión nos permite producir el completamente renovado Ford Fusion y el Lincon MKZ", dijo Mark Fields, presidente de Ford Motor Company para las Américas, en un evento al que asistió el presidente Felipe Calderón.

Ford opera otras dos plantas en México.

jeudi 29 mars 2012

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La UE se plantea sumar 240.000 millones de reserva al fondo de rescate

Los ministros de Finanzas proponen reservar 240.000 millones para emergencias

El comisario europeo de Asuntos Económicos, Olli Rehn. / EFE

Los Gobiernos europeos están preparando un acuerdo para elevar la dotación de los fondos de rescates para los países de la zona euro hasta los 940.000 millones de euros durante un año para mantener a raya la crisis de deuda, según un borrador redactado por los ministros de Finanzas de la zona euro.

Los ministros probablemente decidirán mañana en la reunión del Ecofin (ministros de Finanzas de la UE) en Copenhague que el Mecanismo Permanente de Estabilidad Financiera, de 500.000 millones, conviva a partir de julio con el fondo temporal, que ha prestado 200.000 millones a Irlanda, Grecia y Portugal, con el objetivo de tener más instrumentos de ayuda disponibles.

Los ministros se plantean dejar una reserva de 240.000 millones, que es el dinero del fondo temporal que aún no ha sido utilizado y que solo será desembolsado en caso de que la capacidad del fondo permanente "sea insuficiente", según el borrador.

Este refuerzo de los llamados cortafuegos para afrontar la crisis de deuda se produciría después de que la canciller alemana, Angela Merkel, advirtiera esta semana de la "fragilidad" en España y Portugal. Además de prestar dinero a los países con problemas para financiarse por su cuenta en los mercados mayoritarios, el fondo también está disponible para que los Estados puedan solicitar créditos destinados a reforzar a sus bancos.

Cambios

Los ministros de Finanzas pueden hacer cambios en el borrador en su reunión de mañana. En una conferencia de prensa ayer en Bruselas, un portavoz de la Comisión dijo que lo más probable es que la dotación para rescates esté entre los 700.000 y los 940.000 millones de euros, sin concretar durante cuánto tiempo estarán disponibles.

Falta por ver cuál será la posición final de Alemania, la mayor economía europea. Hasta el mismo miércoles, el Gobierno de Berlín se ha mostrado partidario de que el fondo de rescate temporal y el permanente, que debe sustituir al primero a partir de julio, convivan hasta que los países ya rescatados devuelvan el dinero. Aunque lo suyo es una posición de mínimos.


La portavoz del Ministerio germano de Finanzas, Marianne Kothé, afirmó el miércoles que Alemania apuesta por mantener "por un cierto tiempo" y "en paralelo" los dos instrumentos de ayuda financiera. Esto significaría, aunque la portavoz de Finanzas no lo aclaró, que la capacidad efectiva del cortafuegos sería de 500.000 millones de euros —ya que el resto está comprometido— y que los 240.000 millones del fondo temporal que no están incluidos en ningún programa de ayuda serían cancelados.

Advertencia desde el Bundesbank

Abiertamente escéptico, el presidente del Bundesbank (banco central alemán) y miembro del consejo ejecutivo del BCE, Jens Weidmann, ha advertido hoy desde Londres que aumentar la capacidad del fondo no resolverá la crisis. "Es como la Torre de Babel, el muro de dinero nunca alcanzará el cielo", ha ironizado.

"Si seguimos haciéndolo más y mas alto, estaremos, de hecho, metiéndonos en un terreno más constreñido", ha añadido Weidmann durante una conferencia en la Chatham House londinense. Esto, ha advertido el banquero alemán, "añadiría incentivos que provocarían más problemas en un futuro" en tanto en cuento reduciría los motivos de los países para llevar a cabo las reformas y recortes exigidos para reducir el déficit.

También esta misma semana la OCDE se ha mostrado a favor de reforzar la capacidad de fuego del fondo. “Para suavizar las tensiones en los mercados, el fondo debería estar disponible en una escala suficiente para cubrir posibles requerimientos futuros de apoyo financiero”, indica el informe bianual del club de países ricos sobre la zona euro, que apunta a una cantidad superior al billón de euros.

Junto a la OCDE, el Fondo Monetario Internacional es otro de los organismos internacionales que aboga por aumentar la dotación del presunto cortafuegos de la crisis del euro.

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Bolsas de Europa cierran jornada con fuerte baja

Credito:

Reuters

Foto: EE Archivo

Londres - Las acciones europeas ampliaron este jueves su reciente caída y tocaron mínimos de tres semanas, después de que varios índices rompieron niveles de soporte y los inversores tomaron ganancias al finalizar un estelar primer trimestre que daría paso a un período de consolidación.

Las acciones de sectores cíclicos fueron las que registraron un mayor retroceso. Las de automotrices y financieras lideraron las bajas, seguidas por las minoristas tras los resultados de Hennes & Mauritz.

Un reporte de la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económicos (OCDE) que destacó el estado frágil de la recuperación económica aumentó el interés por dejar acciones más expuestas al ciclo económico.

Operadores opinaron que también la toma de ganancias por el cierre del trimestre contribuyó a las salidas.

Al cierre, el índice paneuropeo FTSEurofirst 300 terminó con un descenso de 1.2%, a 1,059.21 puntos, pero aún estaba en camino a cerrar su mejor trimestre desde el 2006. Las acciones mundiales, en tanto, observan su mejor primer trimestre desde 1998.

El financiamiento a bajo costo otorgado por el Banco Central Europeo (BCE), que había alimentado la subida del primer trimestre, ahora se está agotando, de forma similar a los movimientos del mercado tras la última serie de alivio cuantitativo estadounidense y ahora el mercado enfrenta varias semanas de operaciones sin tendencia definida, dijo Nicolas Just, jefe acciones de Natixis-AM.

"El retroceso data de hace más o menos dos semanas (...) pero para nosotros es difícil comprar con la esperanza de que el mercado tendrá un incremento. Los inversores han estado comprando sobre una base de corto plazo durante los últimos tres meses y ahora se están preguntando que pasará después", comentó.

La incertidumbre política que rodea las elecciones en Francia, la fusión de los fondos de rescate en Europa, además de la posibilidad de más alivio cuantitativo en Estados Unidos son factores a los que los mercados están atentos como potenciales catalizadores para la próxima fase de la subida o de un declive más profundo.

"Los inversionistas todavía no están en modalidad libre de riesgo", agregó Just. El analista mencionó los niveles aún bajos de volatilidad implícita, que sólo han visto un "alza modesta" como resultado del reciente retroceso.

Tras un trimestre marcado por volúmenes bajos, la sesión del jueves contó con un mayor volumen de negocios que el día promedio, a 115% del promedio diario a 90 días. El resultado fue impulsado por el alto volumen de transacciones del productor británico de energía International Power.

Los mercados retrocedieron con fuertes bajas:

  • FTSE 100 de Londres -1.15%
  • IBEX de España -0.87%
  • DAX de Alemania -1.77%
  • ATG de Grecia -2.37%
  • CAC 40 de París -1.43%
  • FTSE MIB de Italia -3.30%
  • BEL 20 de Bélgica -1.14%

mardi 27 mars 2012

La visión está sostenida en la generación de soluciones inteligentes.

Bernanke duda de que la caída del paro en EE UU vaya a prolongarse en el tiempo

El jefe de la Fed habla de discrepancias entre la mejora del empleo y el lento crecimiento

Bernanke y el secretario del Tesoro, Timothy Geithner, la semana pasada el Capitolio. / J. Scott Applewhite (AP)


Ben Bernanke arranca en positivo. “La mejora en el mercado laboral es una buena noticia”, afirma el presidente de la Reserva Federal, en un discurso pronunciado esta mañana. Pero en el mismo párrafo deja claro que hay muchas “cuestiones sin resolver”. Y de nuevo muestra sus dudas con la solidez de la caída del paro. “Hay una discrepancia con el modesto ritmo de crecimiento”, ha precisado el jefe de la autoridad monetaria de EE UU en su intervenció en la National Association of Business Economists.

La tasa de desempleo se mantuvo en febrero en el 8,3%, un nivel que para el estándar de EE UU es muy alto. Si a esto se le suman las personas apartadas del mercado laboral o las forzadas a trabajar a tiempo parcial, el subempleo llega casi el 15%. Por estos motivos, Bernanke ha vuelto a señalar que la situación del mercado laboral “está lejos” de recuperar el nivel previo a la crisis financiera.

Pero lo que preocupa realmente al jefe del banco central de EE UU son los parados que llevan más de seis meses sin empleo, una situación que afecta a 5,4 millones del total de 12,8 millones de desempleados. Según ha explicado, el problema tiene un componente cíclico por la debilidad de la demanda, por lo que también ha hecho un llamamiento a favor de políticas que eviten que se convierta en un factor estructural.

El paro de larga duración, ha explicado, tiene como efecto una reducción de la capacidad productiva de la economía y, por tanto, puede desacelerar aún más la recuperación. La política de la Fed, ha señalado, debería ayudar a hacer frente a este problema. Sin embargo, también ha advertido de que se necesita acelerar la contratación para hacerle frente, y para ello la economía de EE UU debe crecer más rápido.


“La respuesta corta es más crecimiento”, ha concluido el jefe de la Fed. En este sentido, ha indicado que EE UU debe crecer por encima de su potencial. Eso, en cifras, se traduce de la siguiente manera: Para que el paro caiga de forma sostenida un punto porcentual, se necesita que la expansión económica crezca dos puntos por encima de su nivel potencial durante un año. No es el caso.

Por eso, ha admitido que no está en condiciones de asegurar que el reciente ritmo de mejora del mercado laboral vaya a sostenerse. El pasado otoño estaba sin trabajo más del 9% de la población activa. Un mensaje no muy alentador de cara a la llegada del verano, para cuando se espera un repunte del paro porque habrá más gente buscando empleo. Ante este panorama, Bernanke cree que la actual política de tipos bajos está justificada hasta final de 2014.

La visión está sostenida en la generación de soluciones inteligentes.

Indices
Cac 40 3.501,98 +0,74%
Euro Stoxx 50 2.539,87 +0,57%
Dow Jones 13.241,63 +1,23%
Nasdaq C. 3.122,57 +1,78%
Nikkei 225 10.018,24 +0,07%
Devises / Taux / Matières premières
Euro - Dollar 1,3352$ +0,53%
Euribor 1 an 1,440% -0,55%
Petrole (NY) 106,95$ -0,12%
Or 1.690,04$ +1,75%
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Merkel abre la puerta a que la UE refuerce el fondo de rescate financiero

La canciller alemana propone que los dos mecanismos de ayuda convivan durante un tiempo

Angela Merkel, durante una conferencia de prensa en Berlín. / JOHN MACDOUGALL (AFP)


La canciller alemana, Angela Merkel, ha dicho hoy que Alemania está dispuesta a apoyar la propuesta para que el fondo de rescate temporal que ya está en marcha en la UE y el nuevo fondo de rescate permanente que debe sustituirlo a partir de julio convivan durante un tiempo, hasta que los países que han recibido préstamos del primero terminen de devolverlos. Se trata de la primera indicación clara de la dirigente de que sería partidaria de reforzar estos mecanismos de lucha contra la crisis de deuda europea, más conocidos como cortafuegos.

En rueda de prensa en la sede de su partido, Merkel aseguró que el fondo permanente, llamado Mecanismo Europeo de Estabilidad (MEDE), "debe mantenerse de forma duradera" en los 500.000 millones de euros acordados inicialmente, frente a aquellos que exigen aumentar su capacidad. No obstante, agregó Merkel, su Ejecutivo puede "imaginarse" que, "de forma paralela" a este fondo, que entra en funcionamiento este verano, pueda seguir parcialmente "operativo" el fondo temporal Fondo Europeo de Estabilización Financiera (FEEF).

Así, el nuevo fondo permanente no tendría que asumir los 200.000 millones de euros que el instrumento temporal ya ha prestado a Grecia, Portugal e Irlanda, y los 500.000 millones estarían disponibles al 100% para nuevos rescates.

La Comisión Europea afirmó hoy que es "esencial" que la decisión sobre el refuerzo del fondo europeo de rescate se tome a finales de esta semana, cuando los ministros de Finanzas celebran un encuentro informal en Copenhague.

Bruselas recomendó el pasado jueves reforzar la capacidad de préstamo del fondo europeo de rescate de 500.000 millones de euros a 940.000 millones y expresó su confianza en que el Eurogrupo (ministros de Finanzas de la zona euro) tome una decisión definitiva al respecto el próximo viernes.

La nueva capacidad se conseguiría mediante el traslado de las garantías no utilizadas del FEEF al fondo MEDE, según un documento filtrado en Bruselas a la prensa. La Comisión Europea se había mostrado siempre partidaria de contar con un fondo de rescate reforzado y con capacidad para socorrer a economías de gran peso como son la española o la italiana, pero topaba con la fuerte oposición de Alemania.

jeudi 22 mars 2012

La visión está sostenida en la generación de soluciones inteligentes.

Nouvelle correction à Paris, le CAC tombe sous 3500 points

© Olivia Harris / Reuters/Reuters

Le CAC 40 a perdu 1,56 %. Les nouvelles en provenance de Chine mais également d’Europe ont pesé sur le moral des investisseurs.

La Bourse de Paris se remet à broyer du noir. Tandis que la crise de la dette en zone euro plane toujours sur les marchés, les signes de ralentissement de la croissance mondiale se multiplient. Résultat, le CAC 40 a encore perdu 1,56 % pour tomber à 3472,46 points. Il a ainsi accusé sa quatrième baisse d’affilée et accumulé une perte de près de 3,5 % depuis le début de la semaine. Maigre consolation, cette rechute se fait dans des volumes limités: environ 2,9 milliards d’euros ont changé de mains sur les grandes valeurs de la cote parisienne.

L’ambiance est toute aussi maussade sur les autres grandes places européennes. À Londres, le Footsie a abandonné 0,79 %, tandis qu’à Francfort le Dax a lâché 1,27 %. Wall Street a également été emportée en dépit d’une nouvelle embellie sur le marché du travail américain. En séance le Dow Jones reculait de 0,51 % et le Nasdaq de 0,35 %.

Depuis lundi, sur l’ensemble des places boursières le doute est de retour sur la solidité de la croissance économique mondiale. Le mouvement s’est accéléré avec de nouveaux signaux alarmants en provenance de Chine et de la zone euro. HSBC a fait état d’un brutal recul de l’activité manufacturière chinoise au mois de mars. Fait nouveau: «la demande intérieure chinoise jusqu’alors très dynamique et qui participait à entretenir la croissance montre des signes d’essoufflement» constate Andréa Tuéni, analyste marché chez Saxo Banque. Pour lui «ce nouvel élément vient confirmer que le pays n’est plus épargné par la crise et entre certainement dans une phase de croissance moins soutenue». «La Banque centrale chinoise immédiatement réagit en réduisant de nouveau les réserves obligatoire des banques» ajoute-t-il. Et, selon les analystes d’HSBC, d’autres mesures d’assouplissement monétaire sont hautement probables.

Contraction de l’activité du secteur privé en zone euro

Le marché a ensuite creusé ses pertes avec l’annonce d’une baisse d’activité dans le secteur privé français en mars. Une première depuis quatre mois. Le repli s’est ensuite accéléré alors que les investisseurs prenaient connaissance d’une contraction plus forte que prévu de l’activité dans le secteur privé pour l’ensemble de la zone euro en mars. Le recul est général, dans l’industrie comme dans les services. «La hausse des prix de l’essence et l’affaiblissement de la demande en Chine pèsent sur l’activité du secteur manufacturier tandis que les mesures d’austérité mises en place un peu partout en Europe ont des retombées sur le secteur des services» expliquent les analystes d’ING.

Pour Andréa Tuéni, «cette nouvelle déception prouve que la reprise n’est peut être pas aussi évidente en Europe qu’aux États-Unis».

Les valeurs cycliques ont été particulièrement pénalisées à l’image de Peugeot (-3,78 %) Renault (-3,35 %) ou Schneider (-3,75 %). Et seules quelques valeurs défensives parvenaient à résister à l’image d’Essilor (+0,15 %) ou de Danone (+0,43 %).

Valeurs à suivre

Hermès (+2,33 % à 249,95 euros) a réalisé une marge opérationnelle record au titre de son exercice 2011. Le sellier de la rue Saint-Honoré a enregistré un bénéfice net en hausse de 40,9 %, à 594,3 millions d’euros en 2011, ainsi qu’un dividende exceptionnel de cinq euros en plus du dividende de 2 euros.

Wendel (-1,89 % à 66,07 euros) a annoncé son intention de verser cette année à ses actionnaires un dividende de 1,30 euro, en hausse de 4 % et assorti, à titre exceptionnel, d’une action Legrand pour 50 Wendel détenues. En 2011, le résultat net part du groupe de la holding a été réduit de près de moitié, à 525,4 millions d’euros.

Recylex (-5,63 % à 3,35 euros), l’ancienne Metaleurop, est revenue à l’équilibre en 2011, alors qu’elle était en perte l’année précédente.

Guyenne & Gascogne (+0,02 % à 81,95 euros). L’offre publique d’achat de Carrefour sur son franchisé s’ouvre ce jeudi.

Korian (-1,59 % à 13,63 euros) a annoncé jeudi une baisse de 12,2 % de son résultat net à 21,7 millions d’euros en 2011, liée à un changement de normes comptables car il a enregistré une activité et une rentabilité affichant des hausses à deux chiffres.

Casino (-1,25 % à 74 euros). Le groupe de distribution a fait savoir cette nuit qu’il exercerait son droit lui permettant de devenir le seul actionnaire de contrôle de Pao de Acuçar.

Gameloft (-10,27 % à 4,37 euros) a déclaré hier prévoir une «solide croissance» en 2012 après un exercice 2011 marqué par une hausse de 34 % de son résultat net, à 18,2 millions d’euros, pour un chiffre d’affaires de 164,4 millions (+17 %).

Dassault Aviation (-1,47 % à 699,55 euros) a enregistré en 2011 un bénéfice net en hausse de 10 % à 407 millions d’euros.

Hi-Media (+2,62 % à 3,13 euros). Le groupe co-actionnaire de la Tribune est repassé dans le vert l’année dernière, en publiant un bénéfice net historique de 11,3 millions d’euros, contre une perte de 60 millions d’euros un an plus tôt. Le chiffre d’affaires a quant à lui progressé de 4 %, à 229 millions d’euros.

Exonhit Therapeutics (-11,82 % à 1,79 euros). La société de biotechnologies a dévoilé ce matin une perte nette de 7,1 millions d’euros en 2011, contre 7,7 millions d’euros un an plus tôt. La direction estime que la trésorerie de 12,9 millions d’euros à fin 2011, lui offre deux ans de visibilité.

Metabolic Explorer (-3,06 % à 4,75 euros). Le spécialiste de la chimie biologique annonce avoir creusé ses pertes en 2011 (3,4 millions d’euros contre 2,7 millions en 2010), mais a limité sa consommation de trésorerie à 7,7 millions d’euros. Celle-ci s’élève à 26,9 millions d’euros, «un niveau parfaitement compatible avec les besoins de l’entreprise dans le cadre de son plan de développement», estimé la direction.

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Indices
Cac 40 3.472,46 -1,56%
Euro Stoxx 50 2.530,22 -1,46%
Dow Jones 13.060,26 -0,49%
Nasdaq C. 3.066,18 -0,30%
Nikkei 225 10.127,08 +0,40%
Devises / Taux / Matières premières
Euro - Dollar 1,3185$ -0,25%
Euribor 1 an 1,455% -0,61%
Petrole (NY) 104,76$ -1,55%
Or 1.642,05$ -0,53%
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La desaceleración de China y la recesión europea arrastran las Bolsas

El Ibex pierde un 1,62%, hasta 8.353,6 puntos y la prima de riesgo sube a 358 puntos básicos

La actividad en marzo cae inesperadamente en Alemania y Francia


La desaceleración de la economía china se va consolidando como preocupación principal en los mercados y se une a un cóctel en el que la crisis de la deuda europea, cuya resolución definitiva aún está lejos, y la subida de los precios del petróleo son los principales ingredientes. Todo ello sobre la base de una vulnerable recuperación economía de la Eurozona, que a finales de este trimestre certificará su entrada en una nueva recesión.

Así parecen adelantarlo los indicadores provisionales PMI (realizados por Markits Economics a partir de una encuesta a gestores de compras) de la zona euro para marzo. El índice compuesto de la actividad total (industrial y de servicios) se situó en 48,7 puntos (49,3 en febrero), su lectura más baja en tres meses, que refleja una nueva contracción de la actividad, al quedar por debajo de la frontera de los 50 puntos (superar ese nivel indica una expansión de la actividad), y supone el sexto declive en los siete últimos meses. Según el informe de Markits Economics, la actividad total cayó durante el primer trimestre de de 2012, aunque menos que en los tres últimos meses del año pasado, lo que sugiere "que la zona euro ha vuelto a caer en una recesión técnica".

Los mercados reaccionaron negativamente a los datos, sobre todo porque reflejan una inesperada ralentización del crecimiento en Alemania ("apenas un incremento marginal"), el más bajo en los tres últimos meses, mientras en Francia la actividad total cayó ligeramente por primera vez en cuatro meses. En el resto del área, el retroceso fue intenso. Según Markit Economics, los datos apuntan a que el PIB de la Eurozona podría caer un 0,1% este trimestre, tras un descenso del 0,3% en los tres últimos meses de 2011.

La jornada ya comenzó con malas noticias procedentes de China, la segunda economía del mundo, que también se contrae en marzo por quinto mes consecutivo. La primera lectura del indicador PMI que elaboran HSBC y Markit Economics lo sitúa en 48,1 puntos, su menor nivel desde noviembre, frente a los 49,6 puntos de febrero. La desaceleración del crecimiento en China hace prever medidas de relajación monetaria que, sin embargo, plantean problemas a las autoridades del país asiático, que también tratan de controla la inflación en una economía recalentada en ciertos sectores, como el inmobiliario.

Todas las Bolsas han cerrado la jornada con pérdidas. Fráncfort ha caído un 1,27%, París un 1,56% y Milán un 1,7%. La Bolsa de Londres ha registrado unas pérdidas más moderadas, a pesar de que hoy la Oficina Nacional de Estadísticas ha anunciado que las ventas minoristas cayeron un 0,8% en febrero respecto al mes anterior, más de lo previsto. El FTSE 100 ha cedido un 0,79%.

En la Bolsa española, el Ibex 35 se ha dejado un 1,62%, arrastrado de nuevo por los valores bancarios, el sector con más peso en el indicador. La reforma financiera, aún lejos de haber sido completada, sigue causando recelo entre los inversores. Encabezan las pérdidas de las jornadas valores industriales y de construcción, muy sensibles a la caída de la producción industrial en China y las grandes economías de Alemania que anticipan los indicadores PMI: Sacyr Vallhermoso (-5,38), ArcelorMittal (-4,3%) y Acerinox (-3,87%). En el otro extremo, las compañías que más han subido han sido IAG (+3,42%), Red Eléctrica (+0,93%) y Enagas (+0,49%).

Aunque la debilidad de China ha sido dominante, no todas las noticias procedentes de Asia son desalentadoras. También se ha sabido hoy que Japón logró cerrar su balanza comercial con un superávit de 32.900 millones de yenes, el primer saldo positivo en cinco meses, cuando se esperaba un déficit de 120.000 millones de yenes.

Los mercados de deuda pública siguen lastrados por las dudas sobre la capacidad de España para poner en orden sus cuentas públicas y ello se ha reflejado en una escalada de la prima de riesgo (diferencial de rentabilidad entre el bono español a 10 años y su equivalente alemán), que ayer la llevó a cerrar en 342 puntos básicos y que hoy ha llegado a alcanzar 361 puntos, nivel que no tocaba desde el 16 de febrero, aunque luego cedía hasta 358.

Los precios de los bonos españoles cayeron ayer tras las declaraciones realizadas a Bloomberg por el economista jefe de Citigroup, Willem Buiter, en las que aseguró que España está más cerca que nunca de una suspensión de pagos soberana, que Grecia necesitará un nuevo rescate y que Portugal e Irlanda necesitarán, muy probablemente, reestructurar su deuda.

La inquietud por la deuda de los mercados periféricos afecta también a Italia, que en las últimas semanas había logrado llevar su diferencial por debajo de los 300 puntos, ante la oposición que está encontrando el Gobierno de Mario Monti para llevar adelante su plan de austeridad. La prima italiana subía a media sesión hasta 311 puntos, tras haber iniciado la sesión en 301 y alcanzar un máximo diario de 318.

De poco ha servido a los mercados el optimismo del presidente del (BCE), Mario Draghi, que afirma en una entrevista al diario alemán Bild de que lo peor de la crisis del euro ya ha pasado, "sigue habiendo riesgos". En su opinión, "la situación se estabiliza” y ciertos datos de la Eurozona, como inflación, balanza de cuenta corriente y sobre todo los déficit públicos, “son mejores que, por ejemplo en Estados Unidos".

La impresión en los mercados es que las últimas medidas extraordinarias del BCE, que han inyectado a los bancos liquidez por importe de un billón de euros, han sido un bálsamo temporal -Buiter lo calificó ayer de "euforia"- y ya está empezando a quedar al descubierto la frágil realidad de unas economías incapaces de crecer.

La nube de pesimismo no se ha levantado en las plazas financieras ni siquiera tras saberse que el mercado laboral en Estados Unidos sigue reforzándose gracias a una menor destrucción de empleo. El número de solicitudes de paro cayó la semana pasada se situó la semana pasada en 348.000, con un descenso de 5.000, lo que supone su menor nivel desde febrero de 2008, según ha informado el Departamento de Trabajo, y una cifra inferior a las 350.000 peticiones que se esperaban,

Además, el índice de indicadores adelantados que elabora el Conference Board (y que se considera una predicción de los próximos tres a seis meses) creció un 0,7% en febrero, más de lo esperado, con lo que este parámetro registró su quinto mes consecutivo de alzas.

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Lo peor de la crisis del euro ya ha pasado: Draghi

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Foto: AP

El presidente del Banco Central Europeo (BCE), Mario Draghi, se mostró algo más optimista en una entrevista que publica el diario alemán Bild. "Lo peor ya pasó pero sigue habiendo riesgos", aseguró.

La situación se estabiliza. Los datos básicos de la eurozona, como inflación, balanza de cuenta corriente y sobre todo los déficits públicos, son mejores que por ejemplo en Estados Unidos", agregó.

Según Draghi, la confianza de los inversores ha regresado y desde hace varias semanas el BCE no ha tenido que volver a intervenir comprando títulos de deuda soberana.

"Ahora es el turno de los gobiernos, tienen que lograr que la eurozona sea a largo plazo resistente a las crisis", indicó. Draghi defendió además las intervenciones del BCE en medio de la crisis.

"En otoño pasado la situación era crítica. Se hubiera podido llegar a un peligroso estrangulamiento del crédito y con ello a quiebras de empresas que de pronto se hubiesen encontrado sin respaldo financiero. Eso era algo que teníamos que evitar", dijo.

Draghi considera además que las inyecciones de capital efectuadas por BCE no son un factor de inflación porque la mayoría de los bancos no pusieron ese dinero en circulación sino lo utilizaron para cancelar viejas obligaciones.

En la entrevista, el presidente del BCE pone además a Alemania como modelo por haber logrado reinventar el estado de bienestar sin incurrir en deudas desproporcionadas.

"Alemania es un ejemplo. El viejo modelo del estado de bienestar europeo ha muerto porque con frecuencia no funciona sin deudas. Los alemanes lo han reinventado sin deudas desproporcionadas", explicó.

mercredi 21 mars 2012

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Bancomext quiere acciones en Mexicana

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Notimex

Foto: EE Archivo

El Banco Nacional de Comercio Exterior (Bancomext), propietario de siete aviones que utilizaba Mexicana de Aviación, negocia una posible participación en la compañía, afirmó el juez rector del concurso mercantil de la aerolínea, Felipe Consuelo.

Esta situación es lo que ha retrasado el acuerdo con dicha institución y lo que hasta el momento se analiza con el conciliador y administrador de la empresa, Gerardo Badín, señaló.

Sostuvo que no se trata sólo de una quita común y corriente, ya que “quieren también un determinado número de acciones en la empresa, en un porcentaje que aún no está establecido claramente”.

Consuelo precisó que la respuesta de Bancomext respecto a las quitas y a la posible venta y renta de los aviones a un tercero se examinará en la próxima Asamblea de Accionistas, la cual, dijo, aún no hay fecha para que se realice.

Cabe recordar que el Instituto Federal de Especialistas en Concursos Mercantiles (Ifecom) publicó en la lista definitiva de acreedores de Mexicana, en el apartado Crédito con Garantía Real Prendaria e Hipotecaria, que la firma tiene una deuda con Bancomext de 783 millones de pesos, pero la aerolínea dejó en prenda los aviones.

Respecto a Banorte dijo que se analiza el preconvenio establecido para ajustarlo, pero se negociaría una vez que las secretarías de Comunicaciones y Transportes (SCT) o del Trabajo hayan aprobado alguno de los grupos interesados en capitalizar a la compañía.

No obstante, anticipó que no hay una fecha definitiva para llegar a un acuerdo con ambas instituciones, aunque se espera que sea en los siguientes días, para “desbloquear todo y seguir avanzando” y así reiniciar operaciones entre abril y mayo.

Sobre la transferencia de acciones, expuso que se espera que a la brevedad Tenedora K y Med Atlántica lleguen a un acuerdo para realizar la misma, pero mencionó que en caso de que la actual dueña de Mexicana no acceda, solicitará la intervención de la SCT.

Si Tenedora K sigue en ese plan, la SCT tendrá que ver cómo le hacemos, porque si nos metemos en la situación del por qué está aquí, pues porque la dejaron entrar las autoridades y dejaron salir a los anteriores inversionistas, y consecuentemente ellos (SCT) tendrán que convencer a Tenedora K de transferir las acciones”, mencionó.

Aunque Felipe Consuelo confió en que esto no será necesario, ya que en la reunión del 15 de marzo ambos establecieron el precio de las acciones y sólo faltaban algunos detalles en acordar.

No obstante, admitió que no puede mencionar cuándo se tendrá finalizado el convenio concursal, ya que todo depende de la transacción de las acciones entre Tenedora K, dueña de 95 por ciento de los títulos, y Med Atlántica.

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David Cameron baisse les impôts des plus riches

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Par Florentin Collomp Mis à jour | publié Réactions (93)
Le gouvernement prend le risque politique d'être accusé de privilégier les plus riches.
Le gouvernement prend le risque politique d'être accusé de privilégier les plus riches. Crédits photo : © Luke MacGregor / Reuters/REUTERS

Le budget présenté aujourd'hui prévoit la baisse de la tranche supérieure de 50% à 45%.

David Cameron a cédé. Après des mois de lobbying, il a fini par accepter de diminuer le taux le plus élevé de l'impôt sur le revenu. Dans son projet de budget présenté ce mercredi au Parlement, le chancelier George Osborne a annoncé la réduction du taux marginal de 50% sur les revenus supérieurs à 150.000 livres (180.000 euros) par an, qui devrait être réduit à 45% à partir de 2013, et à 40% l'année suivante. Le gouvernement prend le risque politique d'être accusé de privilégier les plus riches, alors que le pays subit les conséquences d'une politique d'austérité budgétaire qui frappe durement les classes moyennes et inférieures. Le taux de TVA était passé, début 2011, de 17,5% à 20%, affectant le pouvoir d'achat des ménages.

Faire passer la pilule

Selon un sondage du Guardian, 67% de la population soutiennent le taux de 50%, y compris, dans la même proportion, les électeurs conservateurs. Le premier ministre et le chancelier risquent aussi de froisser une nouvelle fois leurs alliés libéraux-démocrates centristes de la coalition gouvernementale. Jusqu'à présent, le gouvernement avait invoqué la rigueur pour justifier le maintien du taux d'imposition mis en place par le gouvernement de Gordon Brown juste avant son départ, en 2010.

Pour essayer de faire passer la pilule, il va plaider l'attractivité du Royaume-Uni et l'inefficacité de cet impôt. George Osborne veut faire du pays le plus compétitif du G20 en termes de fiscalité pour attirer les investissements étrangers. George Osborne a assuré que ce taux, «le plus élevé» des pays développés, «fait du tort à l'économie britannique et handicape sa compétitivité», tout en «rapportant presque rien» au budget de l'Etat.

Le Trésor doit révéler le montant collecté grâce à la tranche de 50%, qui serait inférieur à 1 milliard de livres (1,2 milliard d'euros). Mais, avant même d'être publié, ce chiffre est contesté car il ne prend pas en compte les divers moyens d'échapper à cette ponction. Le gouvernement va compenser le manque à gagner par d'autres prélèvements. Cameron a refusé la proposition des libéraux-démocrates de créer une «mansion tax», une sorte d'impôt sur la fortune assis uniquement sur l'immobilier, qui aurait touché les propriétés coûtant plus de 2 millions de livres (2,4 millions d'euros).

Mise en place d'une «tycoon tax»

En revanche, il devrait augmenter les droits de mutation. Et on évoque la mise en place d'une «tycoon tax», un dispositif visant à contrer les mécanismes d'évasion fiscale utilisés par les plus fortunés par un prélèvement minimal d'au moins 20% de leurs revenus. À l'autre extrémité du spectre social, le budget prévoit d'élever le seuil en deçà duquel on ne paye pas d'impôt sur le revenu à 10.000 livres (12.000 euros) par an.

Balayant les critiques, le chancelier de l'Échiquier affirme que sa «priorité est d'aider les revenus moyens». Ce que contestent les spécialistes. Selon une étude de l'Institute for Fiscal Studies, le budget va coûter 160 livres (192 euros) de plus aux ménages moyens. «Les foyers avec enfants et ceux dans les tranches de revenus les plus faibles vont sentir le plus fort impact en proportion de leur revenu», conclut le think-tank.