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La Bourse de Paris termine pratiquement à l’équilibre
L’euro navigue au plus haut depuis un mois face au dollar. Crédit Photo : © Kai Pfaffenbach / Reuters/REUTERS
L’indice
de la Bourse de Paris, qui avançait timidement dans la matinée après
l’accord d’aide à la Grèce, a fait volte face après l’ouverture de Wall
Street. Il a finalement grappillé 0,03% à 3502,13 points.
Valse hésitation à la Bourse de Paris ce mardi. Le CAC 40,
qui avançait timidement dans la matinée à la suite de l’accord trouvé
dans la nuit sur la dette grecque, a changé son fusil d’épaule peu après
l’ouverture de Wall Street. Il a finalement avancé symboliquement de
0,03 % à 3502,13 points. La veille, il avait subi
quelques prises de bénéfices après avoir grimpé de 5,6 % la semaine dernière.
Ailleurs en Europe, les indices ont également terminé en petite hausse après avoir évolué en dents de scie toute la journée. À Londres, le Footsie a ainsi avancé de 0,22 % et à Francfort, le Dax s’est octroyé 0,55 % à la clôture. Wall Street, était plus franchement sur la défensive. En séance, le Dow Jones reculait de 0,26 % et le Nasdaq 0,09 %.
Après plusieurs semaines d’intenses négociations, les bailleurs de fonds de la Grèce sont parvenu à un accord pour alléger le fardeau du pays d’une quarantaine de milliards d’euros.
Les inquiétudes sur le «mur budgétaire» restent également très vives. A un peu plus d’un mois de l’échéance, les débats au Congrès semblent s’enliser. Or, faute d’entente politique d’ici à la fin de l’année, les États-Unis subiraient début janvier une hausse automatique des impôts et une baisse simultanée des dépenses publiques, qui risqueraient de compromettre la fragile croissance américaine.
Les craintes de plus en plus vives sur l’économie mondiales pesaient en revanche sur les spécialistes de l’énergie à l’image de GDF Suez (-1,61 %), EDF (-1,94 %) et Total (-1,17 %).
Ailleurs en Europe, les indices ont également terminé en petite hausse après avoir évolué en dents de scie toute la journée. À Londres, le Footsie a ainsi avancé de 0,22 % et à Francfort, le Dax s’est octroyé 0,55 % à la clôture. Wall Street, était plus franchement sur la défensive. En séance, le Dow Jones reculait de 0,26 % et le Nasdaq 0,09 %.
Après plusieurs semaines d’intenses négociations, les bailleurs de fonds de la Grèce sont parvenu à un accord pour alléger le fardeau du pays d’une quarantaine de milliards d’euros.
L’OCDE pessimiste pour la zone euro
Mais l’enthousiasme des investisseurs a rapidement été freiné par le tableau particulièrement sombre de l’économie mondiale dressé par l’OCDE. L’organisation estime en effet que «la crise de la zone euro reste une menace pour l’économie mondiale». Dans ces pays, la récession devrait être plus forte que prévu cette année, avec un produit intérieur brut en recul de 0,4 % au lieu de 0,1 %. La contraction de l’économie se poursuivrait l’an prochain (-0,1 %), alors que l’OCDE tablait en mai sur une croissance 0,9 %.Les inquiétudes sur le «mur budgétaire» restent également très vives. A un peu plus d’un mois de l’échéance, les débats au Congrès semblent s’enliser. Or, faute d’entente politique d’ici à la fin de l’année, les États-Unis subiraient début janvier une hausse automatique des impôts et une baisse simultanée des dépenses publiques, qui risqueraient de compromettre la fragile croissance américaine.
Les banque en hausse, l’énergie ne baisse
À Paris, les valeurs bancaires saluaient toutefois l’accord intervenu dans la nuit de lundi à mardi sur la dette grecque. Le titre Société générale s’est adjugé 2,21 %. De son côté, Crédit agricole a avancé de 0,97 % et BNP Paribas a grimpé de 0,69 %.Les craintes de plus en plus vives sur l’économie mondiales pesaient en revanche sur les spécialistes de l’énergie à l’image de GDF Suez (-1,61 %), EDF (-1,94 %) et Total (-1,17 %).
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