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La
Bourse de Paris retrouve quelques couleurs. En panne de tendance depuis
une semaine, le CAC 40 a gagné en fin de séance 0,91% à 3480,49 points,
son plus haut niveau depuis mars. Les volumes d’échanges restent
faméliques comme souvent ces derniers jours à environ 1,8 milliard
d’euros .
A noter que le Dax de la Bourse de Francfort est repassé brièvement en séance au-dessus des 7000 points pour finir à 6991 points. Un niveau qu’il n’a plus atteint en clôture depuis quatre mois. Londres a fini stable et les indices américains prenaient entre 0,2 % et 0,6% en séance.
Partie pour faire à nouveau du surplace hier, la Bourse de Paris a gagné quelques points grâce à plusieurs bons indicateurs économiques américains. Parmi eux, la hausse plus forte que prévu des permis de construire américains en juillet ou encore le moindre recul des inscriptions au chômage.
Ce léger regain profite aux valeurs bancaires qui ont affiché de belles progressions. BNP Paribas prend 1,15% à 34,19 euros, le Crédit agricole grimpe de 2,41% à 4,08 euros et la Société générale avance de 1,60% à 20,67 euros. Plusieurs valeurs industrielles grimpaient également: Lafarge s’octroie une hausse de 2,36% à 37,80 euros et Vallourec, 2,45% à 37,27 euros. Alstom prenait 1,46% à 28,15 euros. La banque HSBC a relevé son objectif de cours sur la valeur à 37,5 euros contre 33 euros,
Alcatel-Lucent (+3,63% à 0,97 euro) et StMicroelectronics (+2,52% à 4,92 euros) progressaient «en réaction à la publication mercredi soir par l’américain Cisco Systems, véritable baromètre du secteur, de résultats trimestriels supérieurs aux attentes accompagnés de perspectives rassurantes», selon les analystes d’ IG Markets.
En revanche, les valeurs défensives, moins dépendantes de la conjoncture, ont été pénalisées, comme Sanofi (-1,46% à 67,53 eurosà et Pernod Ricard (-0,81% à 87,04 euros).
Le CAC 40 se rapproche des 3500 points
Hier, le CAC 40 a cédé 0,03% à 3449,20 points. Crédit Photo : JUAN MEDINA/REUTERS
Grâce
à de bons indicateurs américains, l’indice parisien a grimpé de 0,91% à
3480 points, son plus haut niveau depuis mars. Mais les volumes restent
faméliques.
A noter que le Dax de la Bourse de Francfort est repassé brièvement en séance au-dessus des 7000 points pour finir à 6991 points. Un niveau qu’il n’a plus atteint en clôture depuis quatre mois. Londres a fini stable et les indices américains prenaient entre 0,2 % et 0,6% en séance.
Partie pour faire à nouveau du surplace hier, la Bourse de Paris a gagné quelques points grâce à plusieurs bons indicateurs économiques américains. Parmi eux, la hausse plus forte que prévu des permis de construire américains en juillet ou encore le moindre recul des inscriptions au chômage.
Les valeurs défensives pénalisées
L’indice boursier parisien s‘éloigne de l’intervalle 3420-3450 points auquel il était accroché depuis dix jours. «Le marché est monté très fort depuis un mois (+9,13%), on est désormais revenu sur des niveaux normaux, dans un climat de faible volatilité», explique Thierry Claude, gérant actions chez Barclays Bourse.Ce léger regain profite aux valeurs bancaires qui ont affiché de belles progressions. BNP Paribas prend 1,15% à 34,19 euros, le Crédit agricole grimpe de 2,41% à 4,08 euros et la Société générale avance de 1,60% à 20,67 euros. Plusieurs valeurs industrielles grimpaient également: Lafarge s’octroie une hausse de 2,36% à 37,80 euros et Vallourec, 2,45% à 37,27 euros. Alstom prenait 1,46% à 28,15 euros. La banque HSBC a relevé son objectif de cours sur la valeur à 37,5 euros contre 33 euros,
Alcatel-Lucent (+3,63% à 0,97 euro) et StMicroelectronics (+2,52% à 4,92 euros) progressaient «en réaction à la publication mercredi soir par l’américain Cisco Systems, véritable baromètre du secteur, de résultats trimestriels supérieurs aux attentes accompagnés de perspectives rassurantes», selon les analystes d’ IG Markets.
En revanche, les valeurs défensives, moins dépendantes de la conjoncture, ont été pénalisées, comme Sanofi (-1,46% à 67,53 eurosà et Pernod Ricard (-0,81% à 87,04 euros).
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