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La Bourse de Paris clôture en territoire positif
Les investisseurs attendent une action de la Chine pour relancer sa croissance. Crédit Photo : © Rafael Marchante / Reuters/REUTERS
Le
CAC 40 a terminé sur une hausse de 0,54% à 3456,71 points, au terme
d’une séance volatile. Les opérateurs étaient partagés entre de bonnes
statistiques américaines et des signaux de ralentissement en Chine.
La
Bourse de Paris a hésité ce jeudi. Après une ouverture en hausse, le
CAC 40 a basculé dans le rouge, puis est revenu à l’équilibre, pour
terminer sur une progression de 0,54% à 3456,71 points. En plein mois
d’août, le volume d’échanges était encore très limité à 2,1 milliards
d’euros. Les autres places européennes se sont montrées aussi indécises:
Londres a fini en hausse de 0,10% et Francfort a lâché 0,02%. A New
York, le Dow Jones grappillait 0,03% au moment des clôtures européennes.
Les investisseurs étaient partagés entre de bonnes statistiques américaines et d’autres, plus mauvaises, venant de Chine. Les Etats-Unis ont fait état d’une réduction de leur déficit commercial de 10,6% en juillet à 42,9 milliards de dollars, quand les analystes prédisaient un déficit de 47,5 milliards. C’est un plus bas depuis décembre 2010. Par ailleurs, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué plus que prévu à 361.000 contre 370.000 attendues. La Chine, en revanche, a annoncé un ralentissement des investissements en capital fixe, des ventes de détail et de la production industrielle.
Mais le pays a aussi fait état d’une inflation à 1,8% en juillet contre 2,2% en juin. Ces signaux de ralentissement couplé à un repli des prix à la consommation laissent ouverte la porte à de nouvelles mesures d’assouplissement monétaire. L’inflation devrait être inférieure à l’objectif officiel de 4% pour cette année, selon les courtiers, ce qui devrait permettre à la Chine à se concentrer sur la relance de sa croissance. Cet espoir, couplé à celui de voir intervenir prochainement la Fed et la BCE, a soutenu les indices.
Sur le marché des devises, le couple euro-dollar stagne autours de 1,2302 dollar, en baisse dans un marché sans volumes. Les cours du pétrole profitaient, eux des indicateurs américains. Autre facteur de soutien: l’Opep,qui a légèrement relevé ce jeudi sa prévision de demande mondiale de brut pour 2012 et a fait état d’une réduction de 0,3 million de barils par jour en juillet de la production de brut de l’Arabie Saoudite. Le Baril de WTI grimpait à 93,83 dollars et celui de Brent montait à 112,75 dollars.
Du côté des valeurs, les financières étaient en grande forme. Axa a gagné 2% à 11,24 euros, soutenue par par Morgan Stanley qui réaffirme dans une note que le groupe demeure sa valeur préférée du secteur de l’assurance. Crédit Agricole a grimpé de 0,71% à 3,99 euros après avoir confirmé le dépôt de plusieurs offres de reprise pour sa filiale grecque Emporiki. Société Générale a pris 1,33% à 19,86 euros et BNP Paribas 0,56% à 34,02 euros. Les valeurs défensives étaient à nouveau privilégiées, à l’image de L’Oréal, qui a pris 1,99% à 102,50 euros, Pernod Ricard qui a grimpé de 0,60% à 88,79 euros et Danone qui a gagné 0,18% à 50,06 euros.
GDF Suez finit en baisse de 1,40% à 19,42 euros après la décision des autorités belges d’imposer l’arrêt d’un réacteur nucléaire de sa filiale Electrabel. Dans son sillage EDF perd 1,01% à 16,60 euros. Sur le SBF 120, Ingenico et Gemalto ont respectivement perdu 4,47% à 41,08 euros et 4,34% à 58,90 euros, souffrant de prises de bénéfices après avoir engrangé plus de 50% depuis le début de l’année.
Les investisseurs étaient partagés entre de bonnes statistiques américaines et d’autres, plus mauvaises, venant de Chine. Les Etats-Unis ont fait état d’une réduction de leur déficit commercial de 10,6% en juillet à 42,9 milliards de dollars, quand les analystes prédisaient un déficit de 47,5 milliards. C’est un plus bas depuis décembre 2010. Par ailleurs, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué plus que prévu à 361.000 contre 370.000 attendues. La Chine, en revanche, a annoncé un ralentissement des investissements en capital fixe, des ventes de détail et de la production industrielle.
Mais le pays a aussi fait état d’une inflation à 1,8% en juillet contre 2,2% en juin. Ces signaux de ralentissement couplé à un repli des prix à la consommation laissent ouverte la porte à de nouvelles mesures d’assouplissement monétaire. L’inflation devrait être inférieure à l’objectif officiel de 4% pour cette année, selon les courtiers, ce qui devrait permettre à la Chine à se concentrer sur la relance de sa croissance. Cet espoir, couplé à celui de voir intervenir prochainement la Fed et la BCE, a soutenu les indices.
Sur le marché des devises, le couple euro-dollar stagne autours de 1,2302 dollar, en baisse dans un marché sans volumes. Les cours du pétrole profitaient, eux des indicateurs américains. Autre facteur de soutien: l’Opep,qui a légèrement relevé ce jeudi sa prévision de demande mondiale de brut pour 2012 et a fait état d’une réduction de 0,3 million de barils par jour en juillet de la production de brut de l’Arabie Saoudite. Le Baril de WTI grimpait à 93,83 dollars et celui de Brent montait à 112,75 dollars.
Du côté des valeurs, les financières étaient en grande forme. Axa a gagné 2% à 11,24 euros, soutenue par par Morgan Stanley qui réaffirme dans une note que le groupe demeure sa valeur préférée du secteur de l’assurance. Crédit Agricole a grimpé de 0,71% à 3,99 euros après avoir confirmé le dépôt de plusieurs offres de reprise pour sa filiale grecque Emporiki. Société Générale a pris 1,33% à 19,86 euros et BNP Paribas 0,56% à 34,02 euros. Les valeurs défensives étaient à nouveau privilégiées, à l’image de L’Oréal, qui a pris 1,99% à 102,50 euros, Pernod Ricard qui a grimpé de 0,60% à 88,79 euros et Danone qui a gagné 0,18% à 50,06 euros.
GDF Suez finit en baisse de 1,40% à 19,42 euros après la décision des autorités belges d’imposer l’arrêt d’un réacteur nucléaire de sa filiale Electrabel. Dans son sillage EDF perd 1,01% à 16,60 euros. Sur le SBF 120, Ingenico et Gemalto ont respectivement perdu 4,47% à 41,08 euros et 4,34% à 58,90 euros, souffrant de prises de bénéfices après avoir engrangé plus de 50% depuis le début de l’année.
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