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Après
avoir repris 25% depuis juin dernier, l’indice Dow Jones limite ses
fluctuations depuis quelques jours à une zone comprise entre 13.100 et
13.200 points. Mardi après quelques minutes d’échanges, l’indice phare
gagne 0,14% à 13.189 points. L’indice du Nasdaq, le marché des valeurs
technologiques, prend dans le même temps 0,21% à 3.029 points..
Si la zone euro a subi un recul de 0,2% du produit intérieur brut au deuxième trimestre, les pays qui en constituent le socle (Allemagne, France, Pays-Bas) ont fait un peu mieux que prévu, ce qui suffit à entretenir un certain optimisme sur les marchés. En toile de fond de la hausse actuelle réside aussi l’espoir d’une nouvelle intervention des banques centrales.
La publication d’un rebond de 0,8% des ventes au détail le mois dernier outre-Atlantique, nettement plus que prévu (c’est la plus forte hausse observée depuis juillet), est un facteur de soutien supplémentaire. D’ailleurs un grand groupe de distribution, Home Depot, s’adjuge 2,3% après avoir relevé ses prévisions de bénéfices.
Inversement, Groupon chute à un nouveau plus bas historique: la croissance de ses revenus a encore ralenti au deuxième trimestre, en raison d’une demande vacillante pour ses offres en Europe notamment.
Gain modeste à Wall Street, après les ventes au détail
Le baromètre de la cote américaine devrait progresser, au vu des contrats à terme. Crédit Photo : Richard Drew/AP
La
cote des valeurs américaines progressait légèrement mardi, avec un
rebond encourageant des ventes au détail en juillet dernier. Période
estivale oblige, les volumes d’échanges sont en sourdine.
Si la zone euro a subi un recul de 0,2% du produit intérieur brut au deuxième trimestre, les pays qui en constituent le socle (Allemagne, France, Pays-Bas) ont fait un peu mieux que prévu, ce qui suffit à entretenir un certain optimisme sur les marchés. En toile de fond de la hausse actuelle réside aussi l’espoir d’une nouvelle intervention des banques centrales.
La publication d’un rebond de 0,8% des ventes au détail le mois dernier outre-Atlantique, nettement plus que prévu (c’est la plus forte hausse observée depuis juillet), est un facteur de soutien supplémentaire. D’ailleurs un grand groupe de distribution, Home Depot, s’adjuge 2,3% après avoir relevé ses prévisions de bénéfices.
Inversement, Groupon chute à un nouveau plus bas historique: la croissance de ses revenus a encore ralenti au deuxième trimestre, en raison d’une demande vacillante pour ses offres en Europe notamment.
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