La visión está sostenida en la generación de soluciones inteligentes.
L’optimisme a dominé à la Bourse de Paris ce mercredi, avant la décision attendue ce soir de la Réserve Fédérale américaine
sur d’éventuelles mesures de soutien à l’économie et au crédit. Le CAC
40 clôture sur une hausse de 0,91% à 3321,56 points dans un volume
d’échanges modeste de 2,11 milliards d’euros. Londres a de son côté fini
en hausse de 1,38% tandis que Francfort termine en légère baisse de
0,26%.
Les marchés n’ont pas suivi la mauvaise humeurs des opérateurs asiatiques qui avaient réagi négativement à l’annonce par le gouvernement d’une activité manufacturière (indice PMI) à son plus bas niveau depuis huit mois, et ce malgré les mesures de soutien à la croissance de Pékin. Une publication qui confirme le ralentissement de la croissance de la deuxième économie mondiale depuis six trimestre d’affilée.
Avant le communiqué de la Fed, plusieurs indicateurs ont été publiés outre-Atlantique: le rythme des créations d’emplois dans le secteur privé aux Etats-Unis a été plus soutenu que prévu en juillet, selon les résultats de l’enquête mensuelle ADP publiée mercredi. L’économie américaine a créé 163.000 emplois le mois dernier, alors que le marché attendait 120.000 postes supplémentaires.
Les dépenses de construction aux Etats-Unis ont augmenté de 0,4% en juin, à 842,0 milliards de dollars en rythme annualisé, selon des données publiées par le département du Commerce. Les stocks américains de pétrole brut ont reculé nettement plus qu’attendu la semaine dernière, a annoncé mercredi l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA). Les stocks de brut ont diminué de 6,52 millions de barils à 373,59 millions. Les économistes attendaient en moyenne une baisse de 0,7 million de barils.
Le CAC 40 clôture dans le vert en attendant la Fed
L’attentisme
reste le maître mot sur les marchés financiers, avant la fin ce soir de
deux jours de réunion de la Réserve Fédérale, et des décisions
monétaires attendues. Crédit Photo : BERTRAND GUAY/AFP
Les
marchés se montraient optimistes avant le discours de la Fed dans la
soirée et la réunion de la BCE demain. Les bancaires résistent malgré
les résultats décevants de Société Générale. Arkema s’envole.
Les marchés n’ont pas suivi la mauvaise humeurs des opérateurs asiatiques qui avaient réagi négativement à l’annonce par le gouvernement d’une activité manufacturière (indice PMI) à son plus bas niveau depuis huit mois, et ce malgré les mesures de soutien à la croissance de Pékin. Une publication qui confirme le ralentissement de la croissance de la deuxième économie mondiale depuis six trimestre d’affilée.
Doute sur la marge de manœuvre de la Fed, consolidation probable
Au-delà de cette statistique, les opérateurs placent haut le curseur de leurs attentes sur les actions des deux banques centrales (avec celle de la BCE jeudi après-midi). Ces dernières semaines, et à plusieurs reprises, la Fed s’était en effet déclarée être prête à agir pour relancer la croissance. Le caractère timide de la hausse prouve toutefois que les marchés commencent à émettre des doutes sur la réelle marge de manœuvre de l’institution, et que, face à une palette de mesures désormais limitée, les opérateurs ne devraient réagir de façon réellement positive qu’à l’annonce (hypothétique) d’une troisième phase d’assouplissement monétaire.Avant le communiqué de la Fed, plusieurs indicateurs ont été publiés outre-Atlantique: le rythme des créations d’emplois dans le secteur privé aux Etats-Unis a été plus soutenu que prévu en juillet, selon les résultats de l’enquête mensuelle ADP publiée mercredi. L’économie américaine a créé 163.000 emplois le mois dernier, alors que le marché attendait 120.000 postes supplémentaires.
Les dépenses de construction aux Etats-Unis ont augmenté de 0,4% en juin, à 842,0 milliards de dollars en rythme annualisé, selon des données publiées par le département du Commerce. Les stocks américains de pétrole brut ont reculé nettement plus qu’attendu la semaine dernière, a annoncé mercredi l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA). Les stocks de brut ont diminué de 6,52 millions de barils à 373,59 millions. Les économistes attendaient en moyenne une baisse de 0,7 million de barils.
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