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Après
trois séances consécutives de hausse, la Bourse de New York marque la
pause ce mercredi. Après une ouverture dans le rouge, les indices sont
brièvement passé dans le vert, avant de revenir à l’équilibre. Vers 19
heures à Paris, le Dow Jones perd 0,01% à 13.167 points, le Nasdaq
recule de 0,16% à 3011 points et le S&P 500 lâche 0,03% à 1401
points.
Les investisseurs profitent du rallye des derniers jours pour prendre des bénéfices, dans un état d’esprit toujours optimiste. Mais la prudence domine sur le front européen. Le président de l’Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a relancé le débat sur une sortie de la Grèce de la zone euro en affirmant, hier, qu’un tel scénario «serait un processus gérable dans les conditions actuelles» mais qu’il n’est pas «souhaitable».
Standard & Poor’s a, de plus, abaissé hier soir la perspective de la note de la dette grecque de «stable» à «négative». L’agence de notation met en cause les «retards» dans l’application du plan d’économies demandé par la troïka.
L’euro perdait un peu de terrain face au dollar dans un marché peu animé en l’absence de nombreux cambistes pour cause de congés d’été. La monnaie unique tourne autour de 1,2339 dollar contre 1,2401 dollar mardi soir. Les prix du pétrole ont terminé la séance en légère baisse, dans un mouvement de correction après avoir atteint leur plus haut niveau depuis la mi-mai la veille, pénalisés également par une hausse du dollar, dans un contexte économique toujours incertain en zone euro. Le baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en septembre a cédé 32 cents par rapport à la clôture la veille, à 93,35 dollars.
Du côté des indicateurs, aux États-Unis, la productivité est ressortie en hausse plus forte qu’attendu. Elle progresse de 1,6% entre avril et juin sur un rythme annualisé.
Wall Street finit en ordre dispersé
Les opérateurs ont repris leur souffle Crédit Photo : Richard Drew/AP
La
Bourse de New York est à l’équilibre. Les investisseurs prennent leurs
bénéfices après trois hausses d’affilée. Ils gardent également un oeil
inquiet sur la situation en Grèce.
Les investisseurs profitent du rallye des derniers jours pour prendre des bénéfices, dans un état d’esprit toujours optimiste. Mais la prudence domine sur le front européen. Le président de l’Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a relancé le débat sur une sortie de la Grèce de la zone euro en affirmant, hier, qu’un tel scénario «serait un processus gérable dans les conditions actuelles» mais qu’il n’est pas «souhaitable».
Standard & Poor’s a, de plus, abaissé hier soir la perspective de la note de la dette grecque de «stable» à «négative». L’agence de notation met en cause les «retards» dans l’application du plan d’économies demandé par la troïka.
L’euro perdait un peu de terrain face au dollar dans un marché peu animé en l’absence de nombreux cambistes pour cause de congés d’été. La monnaie unique tourne autour de 1,2339 dollar contre 1,2401 dollar mardi soir. Les prix du pétrole ont terminé la séance en légère baisse, dans un mouvement de correction après avoir atteint leur plus haut niveau depuis la mi-mai la veille, pénalisés également par une hausse du dollar, dans un contexte économique toujours incertain en zone euro. Le baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en septembre a cédé 32 cents par rapport à la clôture la veille, à 93,35 dollars.
Du côté des indicateurs, aux États-Unis, la productivité est ressortie en hausse plus forte qu’attendu. Elle progresse de 1,6% entre avril et juin sur un rythme annualisé.
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