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Les
marchés semblaient en panne de carburant en ce début de semaine. Après
avoir longuement navigué autour de l’équilibre, le CAC 40 a terminé la
séance en baisse de 0,22 % à 3 480,58 points. La semaine dernière il avait gagné 1,54 %.
Signe du manque de conviction des investisseurs, les volumes restent
particulièrement minces. Moins de 2 milliards d’euros ont ainsi changé
de mains sur les grandes valeurs de la cote parisienne. Ailleurs en
Europe, l’indécision dominait également. Les indices ont terminé en
petite baisse après avoir tergiversé pratiquement toute la journée.
À Francfort, le Dax a ainsi reculé de 0,1 % et à Londres le Footsie de 0,48 %. Du côté des indices paneuropéens, l’Euro Stoxx 50 a glissé de 0,232 %. L’ouverture en légère baisse de Wall Street n’a guère encouragé les investisseurs. En séance, le Dow Jones reculait de 0,20 % et le Nasdaq de 0,40 %.
Les autorités allemandes et la Banque centrale européenne (BCE) ont en partie douché les espoirs de nouvelles mesures de soutien rapides en faveur des pays les plus fragiles de la zone euro. Le ministère allemand des Finances a notamment estimé que l’hypothèse de rachats d’obligations de pays en difficulté de la zone euro par la BCE, évoquée ce week-end par le magazine Der Spiegel était «peu réaliste» et «très problématique». Depuis de nombreux mois l’Allemagne s’oppose «vigoureusement au financement des gouvernements directement par la BCE car cela va à l’encontre de son mandat», soulignaient les spécialistes de CMC Markets. De son coté la BCE a d’ailleurs réaffirmé qu’elle entendait agir «strictement dans le cadre de son mandat». Or selon les spécialistes de CMC, de tels rachats n’entrent pas dans les missions de la BCE.
Dans tous les cas les pays de l’Union européenne attendront le rapport de la troïka, mi-septembre et une demande officielle grecque pour se prononcer sur un éventuel sursis, a rappelé, Bernard Cazeneuve, le ministre français des Affaires européennes.
La Bourse de Paris reprend son souffle, le CAC perd 0,22%
Les investisseurs suivront le feuilleton grec cette semaine. Crédit Photo : © Alex Domanski / Reuters/REUTERS
Le
CAC 40 a terminé en baisse, après avoir grimpé de 1,54 % la semaine
dernière. Les investisseurs s’inquiètent toujours pour l’avenir de la
Grèce. L’Allemagne campe sur ses positions.
À Francfort, le Dax a ainsi reculé de 0,1 % et à Londres le Footsie de 0,48 %. Du côté des indices paneuropéens, l’Euro Stoxx 50 a glissé de 0,232 %. L’ouverture en légère baisse de Wall Street n’a guère encouragé les investisseurs. En séance, le Dow Jones reculait de 0,20 % et le Nasdaq de 0,40 %.
Les autorités allemandes et la Banque centrale européenne (BCE) ont en partie douché les espoirs de nouvelles mesures de soutien rapides en faveur des pays les plus fragiles de la zone euro. Le ministère allemand des Finances a notamment estimé que l’hypothèse de rachats d’obligations de pays en difficulté de la zone euro par la BCE, évoquée ce week-end par le magazine Der Spiegel était «peu réaliste» et «très problématique». Depuis de nombreux mois l’Allemagne s’oppose «vigoureusement au financement des gouvernements directement par la BCE car cela va à l’encontre de son mandat», soulignaient les spécialistes de CMC Markets. De son coté la BCE a d’ailleurs réaffirmé qu’elle entendait agir «strictement dans le cadre de son mandat». Or selon les spécialistes de CMC, de tels rachats n’entrent pas dans les missions de la BCE.
La Grèce en ligne de mire
Dans ce débat la Grèce est clairement en ligne de mire. Le premier ministre Antonis Samaras devrait tenter d’obtenir de ses créanciers un délai supplémentaire de deux ans pour mettre en place les réformes exigées par la troïka. Ce dernier doit rencontrer Angela Merkel vendredi à Berlin, et François Hollande samedi à Paris. D’ici là, la chancelière allemande et le président français feront le point de la situation jeudi, à Berlin. Mais visiblement les négociations s’annoncent particulièrement serrées pour Athènes qui doit faire face à une opposition de plus en plus ferme de l’Allemagne.Dans tous les cas les pays de l’Union européenne attendront le rapport de la troïka, mi-septembre et une demande officielle grecque pour se prononcer sur un éventuel sursis, a rappelé, Bernard Cazeneuve, le ministre français des Affaires européennes.
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