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Le CAC 40 s’installe au dessus des 3600 points
La démission du premier ministre italien Mario Monti ranime les craintes des opérateurs. Crédit Photo : STAFF/REUTERS
Après
avoir longuement hésité, le CAC 40 a avancé de 0,18 %. Une bonne
nouvelle en provenance de Chine a compensé les inquiétudes sur l’Italie.
Valse-hésitation à la Bourse de Paris. Le CAC 40 a
changé de cap à plusieurs reprises pour finalement se ressaisir peu
avant la clôture. L’indice parisien a finalement avancé de 0,18 %, à
3612,10 points, à un nouveau sommet annuel.
Même ambiance sur les autres grandes places européennes. Après avoir évolué en dents de scie pendant toute la séance, Londres et Francfort ont également terminé dans le vert. Le Footsie a ainsi grignoté 0,12 %, et le Dax 0,17 %.
Milan en revanche a chuté de 2,20 % et Madrid, de 0,73 %. Wall Street était toute aussi hésitante. Après avoir ouvert en légère baisse, le Dow Jones grignotait 0,21 % et le Nasdaq 0,56 %.
En zone euro, l’Italie cristallise de nouveau les inquiétudes. L’annonce de la prochaine démission du président du Conseil italien, Mario Monti a réveillé les doutes sur la troisième économie de la zone euro. Les taux à 10 ans de l’Italie se sont d’ailleurs fortement tendus sur le marché secondaire, grimpant à près de 4,8 % contre environ 4,5 % en fin de semaine dernière. L’instabilité de la situation politique en Italie faisait également ressurgir les craintes sur l’Espagne, rappelant que l’hypothèse d’un sauvetage global du pays pour assainir son économie en récession est encore loin d’être totalement écartée.
Même ambiance sur les autres grandes places européennes. Après avoir évolué en dents de scie pendant toute la séance, Londres et Francfort ont également terminé dans le vert. Le Footsie a ainsi grignoté 0,12 %, et le Dax 0,17 %.
Milan en revanche a chuté de 2,20 % et Madrid, de 0,73 %. Wall Street était toute aussi hésitante. Après avoir ouvert en légère baisse, le Dow Jones grignotait 0,21 % et le Nasdaq 0,56 %.
En zone euro, l’Italie cristallise de nouveau les inquiétudes. L’annonce de la prochaine démission du président du Conseil italien, Mario Monti a réveillé les doutes sur la troisième économie de la zone euro. Les taux à 10 ans de l’Italie se sont d’ailleurs fortement tendus sur le marché secondaire, grimpant à près de 4,8 % contre environ 4,5 % en fin de semaine dernière. L’instabilité de la situation politique en Italie faisait également ressurgir les craintes sur l’Espagne, rappelant que l’hypothèse d’un sauvetage global du pays pour assainir son économie en récession est encore loin d’être totalement écartée.
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