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Pour le FMI, en l'état actuel des choses, avec une croissance deux fois moindre que prévu par Bercy, la France file les 3,5 % de déficit en 2013. Sauf à mettre en place un plan de rigueur supplémentaire. Or cette solution a de moins en moins d'adeptes au FMI, où on s'inquiète des effets récessifs des politiques d'austérité menées en Europe. «Notre conseil, c'est que la France discute dans un contexte européen plus large de la politique appropriée pour 2013» a donc insisté Edward Gardner mercredi.
Les propos de Christine Lagarde, la directrice générale du FMI, à l'hebdomadaire allemand Die Zeit viennent, par effet miroir, confirmer cette orientation. «L'Allemagne et d'autres peuvent se permettre d'aller un peu plus lentement que d'autres dans l'assainissement de leurs finances publiques» a-t-elle déclarée.
Cette petite musique commence également à se faire entendre à Bruxelles. Dans un entretien accordé au Mondele 21 décembre, Olli Rehn, le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires a estimé que la politique de la France était crédible à moyen terme, ce qui lui permettrait de choisir un ajustement plus «doux». Une aubaine pour le gouvernement Ayrault qui ne peut se permettre, de décider, seul, de s'abstraire des 3 %.
À l'occasion d'une conférence de presse à Washington, le FMI a estimé que le gouvernement francais devait rediscuter de l'objectif des 3% de déficit public avec Bruxelles. Une aubaine pour Paris.
Le FMI serait-il en passe d'ôter une belle épine du pied à la France en matière de finances publiques? Lors d'une conférence de presse organisée ce mercredi, le chef de mission de l'organisation, Edward Gardner, a estimé que le gouvernement Ayrault devrait discuter avec ses partenaires européens d'une réduction moins rapide de ses déficits publics. Sous-entendu: Paris pourrait alors être dispensé de ramener son déficit à 3 % du PIB dès 2013. Et ce bien que les différents gouvernements français se soit engagés de longue date à Bruxelles sur cet objectif.Pour le FMI, en l'état actuel des choses, avec une croissance deux fois moindre que prévu par Bercy, la France file les 3,5 % de déficit en 2013. Sauf à mettre en place un plan de rigueur supplémentaire. Or cette solution a de moins en moins d'adeptes au FMI, où on s'inquiète des effets récessifs des politiques d'austérité menées en Europe. «Notre conseil, c'est que la France discute dans un contexte européen plus large de la politique appropriée pour 2013» a donc insisté Edward Gardner mercredi.
Les propos de Christine Lagarde, la directrice générale du FMI, à l'hebdomadaire allemand Die Zeit viennent, par effet miroir, confirmer cette orientation. «L'Allemagne et d'autres peuvent se permettre d'aller un peu plus lentement que d'autres dans l'assainissement de leurs finances publiques» a-t-elle déclarée.
Cette petite musique commence également à se faire entendre à Bruxelles. Dans un entretien accordé au Mondele 21 décembre, Olli Rehn, le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires a estimé que la politique de la France était crédible à moyen terme, ce qui lui permettrait de choisir un ajustement plus «doux». Une aubaine pour le gouvernement Ayrault qui ne peut se permettre, de décider, seul, de s'abstraire des 3 %.
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