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Le CAC 40 termine au plus haut de l’année
La Bourse de Paris a brièvement accusé le coup, en milieu de journée. Crédit Photo : © Charles Platiau / Reuters/Reuters
Le
CAC 40 a gagné 0,31 % ce jeudi, parvenant à se hisser à 3601,65 points,
un niveau inconnu en 2012. Les investisseurs ont repris confiance dans
la capacité de la zone euro à s’extraire de la crise.
Sur le fil! Après avoir tergiversé pendant pratiquement toute la séance ce jeudi, le CAC 40
a fait un pas en avant à quelques instants de la clôture. Il a en effet
grimpé de 0,31 % pour finir la journée à 3601,65 points. Un sommet
inconnu en 2012.
Ailleurs en Europe, les indices ont également terminé en légère hausse. À Londres, le Footsie a gagné 0,16 %, et à Francfort le Dax a avancé de 1,07 % pour finir à 7534,54 points, soit son plus haut niveau de clôture depuis le 15 janvier 2008. En milieu de séance, à Wall Street, le Dow Jones reculait de 0,12 % tandis que le Nasdaq grappillait 0,02 %. La Bourse de New York reste suspendue aux tractations souvent houleuses sur la question du «précipice budgétaire», cet effet de ciseau sur la croissance avec des hausses d’impôts et des coupes dans les dépenses publiques programmées début 2013.
Mais le marché a finalement repris de la hauteur en fin de journée, rassuré par l’apaisement des tensions en zone euro, dont témoigne notamment la forte détente du marché de la dette publique. Celle-ci s’est encore poursuivie ce jeudi. Le taux à 10 ans de la France, passé sous les 2 % mercredi, s’enfonçait encore sous ce seuil historique.
Ailleurs en Europe, les indices ont également terminé en légère hausse. À Londres, le Footsie a gagné 0,16 %, et à Francfort le Dax a avancé de 1,07 % pour finir à 7534,54 points, soit son plus haut niveau de clôture depuis le 15 janvier 2008. En milieu de séance, à Wall Street, le Dow Jones reculait de 0,12 % tandis que le Nasdaq grappillait 0,02 %. La Bourse de New York reste suspendue aux tractations souvent houleuses sur la question du «précipice budgétaire», cet effet de ciseau sur la croissance avec des hausses d’impôts et des coupes dans les dépenses publiques programmées début 2013.
Le marché surmonte les mauvaises annonces de la BCE
A Paris, le CAC 40 qui avait grimpé dans la matinée à plus de 3620 points, a brièvement accusé le coup, en milieu de journée, après le discours de la Banque centrale européenne (BCE). L’institution, qui prévoyait jusqu’alors une croissance de 0,5 % en 2013, table désormais un recul de 0,3 % du produit intérieur brut de la zone euro l’an prochain.Mais le marché a finalement repris de la hauteur en fin de journée, rassuré par l’apaisement des tensions en zone euro, dont témoigne notamment la forte détente du marché de la dette publique. Celle-ci s’est encore poursuivie ce jeudi. Le taux à 10 ans de la France, passé sous les 2 % mercredi, s’enfonçait encore sous ce seuil historique.
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