La visión está sostenida en la generación de soluciones inteligentes.
La Bourse de Paris au plus haut depuis 18 mois
Le CAC 40 est à des sommets inconnus depuis l’été 2011. Crédit Photo : FRANCOIS MORI/ASSOCIATED PRESS
Le
CAC 40 a grignoté 0,11 % ce vendredi et gagne 1,36 % sur la semaine,
marquant ainsi sa troisième semaine de hausse. L’indice s’installe au
dessus des 3600 points, à un sommet inconnu depuis l’été 2011.
Le CAC 40 aura passé toute la semaine dans le vert, terminant la séance de vendredi sur un gain de 0,11 % à 3605,61 points. En cinq jours l’indice a grimpé de 1,36 %. Il a ainsi aligné une troisième semaine d’affilée dans le vert.
Depuis le début de l’année le CAC 40 avance désormais de 14,11 %. Et, depuis ses planchers du début du mois de juin, où il était tombé sous les 3000 points, il a regagné plus de 20 %. Vendredi, comme souvent après de belles hausses, les marchés ont évolué en dents de scie pendant pratiquement toute la journée. Londres a finalement avancé de 0,22 % mais Francfort a glissé de 0,22 %.
A Paris, les investisseurs qui étaient tentés de prendre une part de leurs bénéfices dans la matinée ont renoncé après les bons chiffres de l’emploi américain. Le taux de chômage américain est tombé en novembre à 7,7 %, son niveau le plus bas en près de quatre ans. Finalement, l’ouragan Sandy «n’a pas eu d’impact significatif» sur les chiffres de novembre, contrairement à ce que redoutaient les analystes. La Bourse de New York restait toutefois sur la défensive. En séance, le Dow Jones avançait de 0,21 % mais le Nasdaq glissait de 0,41 %.
Sur la question du «précipice budgétaire», dernière grande incertitude qui pèse sur les marchés d’ici la fin de l’année, les investisseurs espèrent également une issue positive. Le pays est au pied du mur: faute de compromis entre les démocrates et les républicains, le pays subira début janvier une cure d’austérité forcée, avec une hausse automatique des impôts et une baisse simultanée de ses dépenses publiques, qui risque de compromettre la timide reprise.
es valeurs cycliques ont aussi profité de l’optimisme des investisseurs, avec notamment Alstom qui a gagné 6,40 % dans la semaine, Bouygues (+5,03 %) ou encore de Lafarge (+2,08 %). La plus belle performance du CAC 40 revient toutefois à EADS, qui s’adjuge 15,08 % en cinq jours porté par l’annonce d’une profonde refonte de son actionnariat et de sa gouvernance qui devrait offrir plus de latitude au groupe dans la conduite de sa stratégie. A l’inverse, GDF Suez a chuté de 12,06 % en cinq jours. Le marché a durement sanctionné le plan Perform 2015, axé essentiellement sur la recherche d’économies et le désendettement.
Depuis le début de l’année le CAC 40 avance désormais de 14,11 %. Et, depuis ses planchers du début du mois de juin, où il était tombé sous les 3000 points, il a regagné plus de 20 %. Vendredi, comme souvent après de belles hausses, les marchés ont évolué en dents de scie pendant pratiquement toute la journée. Londres a finalement avancé de 0,22 % mais Francfort a glissé de 0,22 %.
A Paris, les investisseurs qui étaient tentés de prendre une part de leurs bénéfices dans la matinée ont renoncé après les bons chiffres de l’emploi américain. Le taux de chômage américain est tombé en novembre à 7,7 %, son niveau le plus bas en près de quatre ans. Finalement, l’ouragan Sandy «n’a pas eu d’impact significatif» sur les chiffres de novembre, contrairement à ce que redoutaient les analystes. La Bourse de New York restait toutefois sur la défensive. En séance, le Dow Jones avançait de 0,21 % mais le Nasdaq glissait de 0,41 %.
Les principaux risques pesant sur les indices ses sont peu à peu éloignés.
Depuis mi-novembre, les marchés européens ont retrouvé l’optimisme. Les principaux risques pesant sur les indices ses sont peu à peu éloignés. Depuis l’accord intervenu entre la Grèce et ses bailleurs de fonds qui doit permettre à Athènes de réduire sa dette d’une quarantaine de milliards d’euros, la situation du pays suscite de moins en moins d’inquiétudes. Dans le même temps, la Chine se remet à envoyer des signaux positifs.Sur la question du «précipice budgétaire», dernière grande incertitude qui pèse sur les marchés d’ici la fin de l’année, les investisseurs espèrent également une issue positive. Le pays est au pied du mur: faute de compromis entre les démocrates et les républicains, le pays subira début janvier une cure d’austérité forcée, avec une hausse automatique des impôts et une baisse simultanée de ses dépenses publiques, qui risque de compromettre la timide reprise.
EADS s’envole, GDF Suez plonge
L’accalmie sur le marché de la dette publique a encore porté les actions des banques cette semaine à la Bourse de Paris. Le titre Société générale a ainsi grimpé de 5,29 % en cinq jours, Crédit agricole a avancé de 4,80 % et BNP Paribas de 2,53 %. Les valeurs cycliques ont aussi profité de l’optimisme des investisseurs, avec notamment Alstom qui a gagné 6,40 % dans la semaine, Bouygues (+5,03 %) ou encore de Lafarge (+2,08 %). La plus belle performance du CAC 40 revient toutefois à EADS, qui s’adjuge 15,08 % en cinq jours porté par l’annonce d’une profonde refonte de son actionnariat et de sa gouvernance qui devrait offrir plus de latitude au groupe dans la conduite de sa stratégie. A l’inverse, GDF Suez a chuté de 12,06 % en cinq jours. Le marché a durement sanctionné le plan Perform 2015, axé essentiellement sur la recherche d’économies et le désendettement.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire