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Après
avoir longuement hésité sur la direction à prendre, le CAC 40 a
grignoté 0,32 % à 3047,94 points, parvenant à résister aux inquiétudes
grandissantes sur l’Espagne. La Catalogne, la plus riche des régions autonomes du pays, a en effet demandé l’aide financière de l’État pour pouvoir refinancer sa dette.
Les autres grandes places européennes étaient sur la même tendance aujourd’hui. Francfort a avancé de 0,38 % mais Londres a terminé en quasi-équilibre (+0,03 %). À Wall Street le Dow Jones glissait de 0,16 % en séance et le Nasdaq de 0,05 %.
À Paris, les titres des grands établissements bancaires ont été très chahutés tout au long de la semaine. Au finish, sur ces cinq jours Société générale avance de 2,84 % et BNP Paribas de 1,33 %. En revanche Crédit agricole, très implanté en Grèce recule de 0,53 % sur la semaine. Les titres les plus massacrés comme Alcatel Lucent (+13,30 % sur la semaine) ou Renault (+10,12 %) tirent également leur épingle du jeu. En revanche, Veolia (-4,91 %)qui a grimpé de près de 15 % depuis janvier subissait des prise de bénéfices.
Semaine de hausse à la Bourse de Paris
La situation en Grèce reste la principale préoccupation des investisseurs. Crédit Photo : © Pawel Kopczynski / Reuters/REUTERS
Le
CAC 40 a avancé de 0,32 % aujourd’hui à 3047,94 points et de 1,33 % sur
les cinq derniers jours. Il a été chahuté toute la semaine au rythme
des espoirs et des craintes sur la zone euro.
Les autres grandes places européennes étaient sur la même tendance aujourd’hui. Francfort a avancé de 0,38 % mais Londres a terminé en quasi-équilibre (+0,03 %). À Wall Street le Dow Jones glissait de 0,16 % en séance et le Nasdaq de 0,05 %.
Un sommet décevant
Sur l’ensemble de la semaine, l’indice parisien avance de 1,33 %. Mais, entre-temps il a joué aux montagnes russes, ballotté au rythme des espoirs et des craintes sur l’avenir de la Grèce au sein de la zone euro. Le CAC 40 ainsi a grimpé de 0,64 % lundi, puis de 1,88 % mardi, porté par une intense chasse aux bonnes affaires. Il a ensuite lourdement chuté mercredi (-2,62 %) avant le sommet européen prévu dans la soirée. Ce rendez-vous, qui avait suscité une forte attente, s’est soldé par une déception, avec l’absence d’avancées réelles sur la Grèce et l’Espagne. Il a en revanche fait ressortir des dissensions de plus en plus nettes entre la France et l’Allemagne, notamment sur la question de la mutualisation de la dette, via les euro-obligations. Et, pour les spécialistes d’Aurel BGC, «la situation en Grèce a peu de chance d’évoluer, au moins jusqu’au élections du 17 juin prochain». En attendant, les marchés se tournent vers la BCE. Les stratèges du Crédit Mutuel-CIC jugent ainsi «indispensable que la BCE agisse pour permettre un rebond (de l’économie) au cours de la deuxième partie de l’année».Les banques chahutées
Dès jeudi, les investisseurs, qui se contentent de gérer l’incertitude au jour le jour, profitaient de la chute des cours de Bourse pour reprendre leurs achats, et le CAC 40 a grimpé de 1,16 %. Ils ont également été encouragés par le maintient du triple «A» de la France par Moody’s. Pour Fabrice Cousté chez CMC Maket il s’agit en effet d’une très bonne nouvelle «qui confirme l’excellente qualité de la signature de Paris». D’ailleurs, le taux de l’obligation française à 10 ans est tombé à un nouveau plancher historique, à moins de 2,5 % aujourd’hui.À Paris, les titres des grands établissements bancaires ont été très chahutés tout au long de la semaine. Au finish, sur ces cinq jours Société générale avance de 2,84 % et BNP Paribas de 1,33 %. En revanche Crédit agricole, très implanté en Grèce recule de 0,53 % sur la semaine. Les titres les plus massacrés comme Alcatel Lucent (+13,30 % sur la semaine) ou Renault (+10,12 %) tirent également leur épingle du jeu. En revanche, Veolia (-4,91 %)qui a grimpé de près de 15 % depuis janvier subissait des prise de bénéfices.
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