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Certaines
places européennes repassaient dans le vert cet après-midi, essayant de
se rassurer après un indice américain encourageant et dans l'espoir
d'une issue à la crise politique à Athènes.
Francfort grimpait de 0,7%, devant Londres (+0,4%), Milan et Zurich (+0,2%), mais Madrid perdait 0,8%. Sur les places d'Euronext, Amsterdam prenait 0,6%, Paris reculait de 0,2% Bruxelles de 0,3% et Lisbonne de 1,2%. Par comparaison, Wall Street gagnait 0,3%.
Le moral des ménages américains s'est finalement redressé ce mois-ci, selon l'indice de confiance de l'Université du Michigan ('UMich') paru à 77,8. Les économistes tablaient en général sur un indicateur stable par rapport à avril (76,4).
Cette nouvelle a aidé à se redresser des Bourses inquiétées par JP Morgan Chase, qui a annoncé à la SEC une perte sur son portefeuille d'obligation crédit, perte d'au mois deux milliards de dollars et qui pourrait encore grossir jusqu'à trois milliards.
Le dossier grec restait aussi dans la tête des opérateurs. Les dirigeants du Parti socialiste devaient rencontrer ceux de Nouvelle Démocratie afin de former un gouvernement de coalition, mais les investisseurs restaient prudents.
'Si une large coalition pouvait être trouvée en vue de collaborer avec le reste de l'Europe, cela pourrait créer un début de stabilité et écarter les craintes de contagion. Mais ce n'est qu'un espoir', notait un trader britannique.
'L'immobilisme politique en Grèce n'aboutira pas à une sortie du pays de la zone euro', se rassurait-on chez CMC Markets France. 'Les intérêts grecs et européens sont bien trop importants pour que le scénario de l'exclusion hellène se réalise'.
La Commission européenne a par ailleurs livré ses prévisions économiques et attend des croissances de 1,3% pour l'UE et de 1% pour la zone euro en 2013, après respectivement une stagnation et une contraction de 0,3% du PIB cette année.
Sur le plan des valeurs, International Airlines Group avançait de 2,3% à 167 pence à Londres, en dépit d'une aggravation de ses pertes sur les trois premiers mois de l'année, à cause notamment de la flambée des coûts de carburant.
Telefonica reculait de 1,7% à 11,1 euros à Madrid, délaissé après la publication de bénéfices en recul et un peu inférieurs aux attentes au premier trimestre, en dépit du dynamisme de ses marchés latino-américains.
À la Bourse de Paris, Vallourec plongeait de 21,8% à 33,5 euros, le fabricant de tubes ayant prévenu que la croissance de son chiffre d'affaires se situerait autour de 5% en 2012, contre une prévision de 10% précédemment.
Europe: certaines Bourses repassent dans le vert.
Francfort grimpait de 0,7%, devant Londres (+0,4%), Milan et Zurich (+0,2%), mais Madrid perdait 0,8%. Sur les places d'Euronext, Amsterdam prenait 0,6%, Paris reculait de 0,2% Bruxelles de 0,3% et Lisbonne de 1,2%. Par comparaison, Wall Street gagnait 0,3%.
Le moral des ménages américains s'est finalement redressé ce mois-ci, selon l'indice de confiance de l'Université du Michigan ('UMich') paru à 77,8. Les économistes tablaient en général sur un indicateur stable par rapport à avril (76,4).
Cette nouvelle a aidé à se redresser des Bourses inquiétées par JP Morgan Chase, qui a annoncé à la SEC une perte sur son portefeuille d'obligation crédit, perte d'au mois deux milliards de dollars et qui pourrait encore grossir jusqu'à trois milliards.
Le dossier grec restait aussi dans la tête des opérateurs. Les dirigeants du Parti socialiste devaient rencontrer ceux de Nouvelle Démocratie afin de former un gouvernement de coalition, mais les investisseurs restaient prudents.
'Si une large coalition pouvait être trouvée en vue de collaborer avec le reste de l'Europe, cela pourrait créer un début de stabilité et écarter les craintes de contagion. Mais ce n'est qu'un espoir', notait un trader britannique.
'L'immobilisme politique en Grèce n'aboutira pas à une sortie du pays de la zone euro', se rassurait-on chez CMC Markets France. 'Les intérêts grecs et européens sont bien trop importants pour que le scénario de l'exclusion hellène se réalise'.
La Commission européenne a par ailleurs livré ses prévisions économiques et attend des croissances de 1,3% pour l'UE et de 1% pour la zone euro en 2013, après respectivement une stagnation et une contraction de 0,3% du PIB cette année.
Sur le plan des valeurs, International Airlines Group avançait de 2,3% à 167 pence à Londres, en dépit d'une aggravation de ses pertes sur les trois premiers mois de l'année, à cause notamment de la flambée des coûts de carburant.
Telefonica reculait de 1,7% à 11,1 euros à Madrid, délaissé après la publication de bénéfices en recul et un peu inférieurs aux attentes au premier trimestre, en dépit du dynamisme de ses marchés latino-américains.
À la Bourse de Paris, Vallourec plongeait de 21,8% à 33,5 euros, le fabricant de tubes ayant prévenu que la croissance de son chiffre d'affaires se situerait autour de 5% en 2012, contre une prévision de 10% précédemment.
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