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Après
avoir passé la moitié de la séance dans le vert, Wall Street finit en
recul ce mardi. A la clôture, le Dow Jones perd 0,75% à 13,457,55
points, le Nasdaq lâche 1,36% à 3117,73 points et le S&P 500
abandonne 1,05% à 1441,59 points.
Wall Street est passée dans le rouge peu après un discours d’un dirigeant de la banque centrale des Etats-Unis (Fed) remettant en cause l’efficacité de sa politique. Le président de l’antenne de la Fed à Philadelphie, Charles Plosser, a en effet expliqué pourquoi il s’était opposé à la décision du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) de procéder à des rachats de titres adossés à des créances immobilières, à raison de 40 milliards de dollars par mois. Pour ce dernier, cette mesure est «inopportune» et devrait se révéler «inefficace dans l’environnement actuel». «Les coûts potentiels et les risques» liés à cette décision «sont supérieurs aux maigres bénéfices qu’on pourrait en attendre», a-t-il estimé, disant craindre que la nouvelle politique de la Fed se traduise à long terme par une poussée d’inflation.
Les indices étaient avant cela portés par un bon indicateur immobilier: les prix des maisons individuelles ont augmenté en juillet pour le sixième mois d’affilée, selon l’indice S & P/Case-Shiller. Autre bonne nouvelle, la confiance du consommateur aux Etats-Unis a bondi en septembre pour atteindre un plus haut de sept mois, les Américains se montrant plus optimistes pour le marché de l’emploi et pour leurs revenus, montre l’enquête mensuelle du Conference Board publiée mardi.
Wall Street clôture en baisse
Le titre du géant américain d’internet qui a atteint lundi son plus haut historique devrait encore être très entouré. Crédit Photo : © Brendan McDermid / Reuters/REUTERS
Encouragée
dans un premier temps par de bons indicateurs, la Bourse de New York a
basculé dans le rouge après un discours pessimiste d’un dirigeant de la
Fed remettant en cause l’efficacité de sa politique.
Wall Street est passée dans le rouge peu après un discours d’un dirigeant de la banque centrale des Etats-Unis (Fed) remettant en cause l’efficacité de sa politique. Le président de l’antenne de la Fed à Philadelphie, Charles Plosser, a en effet expliqué pourquoi il s’était opposé à la décision du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) de procéder à des rachats de titres adossés à des créances immobilières, à raison de 40 milliards de dollars par mois. Pour ce dernier, cette mesure est «inopportune» et devrait se révéler «inefficace dans l’environnement actuel». «Les coûts potentiels et les risques» liés à cette décision «sont supérieurs aux maigres bénéfices qu’on pourrait en attendre», a-t-il estimé, disant craindre que la nouvelle politique de la Fed se traduise à long terme par une poussée d’inflation.
Les indices étaient avant cela portés par un bon indicateur immobilier: les prix des maisons individuelles ont augmenté en juillet pour le sixième mois d’affilée, selon l’indice S & P/Case-Shiller. Autre bonne nouvelle, la confiance du consommateur aux Etats-Unis a bondi en septembre pour atteindre un plus haut de sept mois, les Américains se montrant plus optimistes pour le marché de l’emploi et pour leurs revenus, montre l’enquête mensuelle du Conference Board publiée mardi.
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