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Sur la défensive, la Bourse de Paris perd 0,95 %
La confiance des entrepreneurs allemands est tombée en septembre à son plus bas niveau depuis févier 2010. Crédit Photo : © Ralph Orlowski / Reuters/REUTERS
Le
CAC 40 a terminé sous les 3500 points. Tandis que le moral des
entrepreneurs allemands se dégrade, l’Espagne tarde toujours à
solliciter l’aide de ses partenaires européens.
La Bourse de Paris a
connu une nouvelle séance sans grand relief. Le CAC 40 a reculé de
0,95 % à la clôture, à 3 497,22 points. Vendredi il avait avancé
timidement de 0,59 %. Signe du manque d’entrain des investisseurs, les
volumes restent particulièrement minces. Un peu plus de 2 milliards
d’euros ont changé de mains sur les grandes valeurs de la cote
parisienne.
Manque de conviction également sur les autres grandes places européennes, qui ont également fini dans le rouge. À Londres, le Footsie a glissé de 0,24 % et, à Francfort, le Dax a cédé 0,54 % à la clôture. La Bourse de New York était également sur ses gardes. En séance, le Dow Jones reculait de 0,19 %, et le Nasdaq de 0,59 %.
L’annonce dans la matinée d’un nouveau recul du moral des chefs d’entreprises allemands a douché les marchés européens. L’indice mensuel Ifo qui mesure la confiance des entrepreneurs allemands, est tombé en septembre à son plus bas niveau depuis févier 2010, reculant pour le cinquième mois d’affilée, en dépit des mesures annoncées par la Banque centrale européenne début septembre. «Ce nouveau repli nous rappelle que même les économies les plus solides de la zone euro ne sont pas épargnées par la crise», soulignent les analystes de Capital Economics.
L’incertitude sur le sort de l’Espagne, qui tarde toujours à demander l’aide de ses partenaires européens et un regain de tension entre Allemands et Français au sujet de l’Union bancaire, ce week-end, ont également pesé sur la tendance.
A l’inverse Total a terminé en hausse de 0,80 %. La compagnie a annoncé qu’elle prévoyait une hausse de 3 % par an en moyenne de sa production d’hydrocarbures d’ici 2015.
Manque de conviction également sur les autres grandes places européennes, qui ont également fini dans le rouge. À Londres, le Footsie a glissé de 0,24 % et, à Francfort, le Dax a cédé 0,54 % à la clôture. La Bourse de New York était également sur ses gardes. En séance, le Dow Jones reculait de 0,19 %, et le Nasdaq de 0,59 %.
L’annonce dans la matinée d’un nouveau recul du moral des chefs d’entreprises allemands a douché les marchés européens. L’indice mensuel Ifo qui mesure la confiance des entrepreneurs allemands, est tombé en septembre à son plus bas niveau depuis févier 2010, reculant pour le cinquième mois d’affilée, en dépit des mesures annoncées par la Banque centrale européenne début septembre. «Ce nouveau repli nous rappelle que même les économies les plus solides de la zone euro ne sont pas épargnées par la crise», soulignent les analystes de Capital Economics.
L’incertitude sur le sort de l’Espagne, qui tarde toujours à demander l’aide de ses partenaires européens et un regain de tension entre Allemands et Français au sujet de l’Union bancaire, ce week-end, ont également pesé sur la tendance.
Total en hausse
A Paris, les valeurs cyclique était lourdement pénalisées par la baisse du moral des entrepreneurs allemands et par les craintes de plus en plus vives sur la croissance mondiale, à l’image de STMicroelectronics (-4,29 %), Saint-Gobain (-2,74 %), ArcelorMittal (-2,34 %), Michelin (-2,08 %) ou Lafarge (-1,96 %). CGG Veritas a chuté de 5,25 % après avoir annoncé le rachat de la division géoscience du néerlandais Fugro pour 1,2 milliard d’euros.A l’inverse Total a terminé en hausse de 0,80 %. La compagnie a annoncé qu’elle prévoyait une hausse de 3 % par an en moyenne de sa production d’hydrocarbures d’ici 2015.
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