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Prudente, la Bourse de Paris fait un timide pas en avant
Les regards des investisseurs restent toujours braqués sur la Grèce et l’Espagne Crédit Photo : © Alex Domanski / Reuters/REUTERS
Après
avoir longuement hésité sur la direction à prendre, le CAC 40 a grimpé
de 0,54 %. La Banque centrale japonaise a engagé un nouveau cycle
d’assouplissement monétaire.
Après
avoir tergiversé pendant pratiquement toute la séance, le CAC 40 a
terminé en légère hausse hier, mettant ainsi fin à deux séances
d’affilée de net recul. L’indice parisien a grimpé de 0,54 %, à 3531,82
points.
Même ambiance sur les autres grandes places européennes qui ont terminé en petite hausse après avoir évolué en dents de scie pendant pratiquement toute la séance. Londres a finalement avancé de 0,35 %, et Francfort s’est adjugé 0,59 %. Le salut est venu de Wall Street . En séance le Dow Jones avançait de 0,34 % et le Nasdaq de 0,12 %.
Les marchés ont également été encouragés par l’intervention de la banque du Japon. Après la Banque centrale européenne le 6 septembre, puis la Réserve fédérale américaine jeudi dernier, la Banque du Japon a pris les marchés par surprise en dévoilant un vaste programme de rachat d’actifs pour soutenir son économie. Pour les spécialistes de Barclays, cette abondance de liquidité sur les marchés «devrait continuer à favoriser les actifs risqués, donc les actions».
A Paris le secteur de la chimie très dépendant des prix du pétrole, profitaient du recul des cours du baril, à l’image de Solvay (+1,68 %), Arkema (+2,06 %), ou Air Liquide (+1,94 %). De son coté, le secteur automobile, fortement chahuté ces derniers jours faisait l’objet d’une intense chasse aux bonnes affaires. Renault a ainsi grimpé de 2,25 % et Peugeot de 1,25 %. Michelin a terminé en hausse de 1,50 % après avoir relevé son objectif de résultat opérationnel à l’horizon 2015 à 2,9 milliards d’euros, contre 2,5 milliards jusque-là.
En revanche bon nombre de valeurs jugées hautement cyclique pâtissaient toujours des craintes de ralentissement de la croissance mondiale. Schneider a ainsi terminé en baisse de 2,25 % et STMicroelectronics a lâché 1,86 %.
Même ambiance sur les autres grandes places européennes qui ont terminé en petite hausse après avoir évolué en dents de scie pendant pratiquement toute la séance. Londres a finalement avancé de 0,35 %, et Francfort s’est adjugé 0,59 %. Le salut est venu de Wall Street . En séance le Dow Jones avançait de 0,34 % et le Nasdaq de 0,12 %.
Les ventes de logement rebondissent aux États-Unis
Après une ouverture hésitante, la place new-yorkaise s’est hissée dans le vert avec l’annonce d’un vif redressement du marché de l’immobilier ancien aux États-Unis le mois dernier. Les ventes de logement ont en effet bondi de 7,8 % en août, selon l’Association nationale des agents immobiliers. Cette bonne surprise a fait passer au second plan d’autres indicateurs plus mitigés publiés plus tôt dans la journée. Les mises en chantier de logements ont grimpé en août, mais sans parvenir à effacer leur baisse du mois de juillet, tandis que les permis de construire délivrés ont encore reculé en août. Pour la Fed qui espère relancer la croissance grâce notamment à des achats de créances hypothécaires, le redressement de l’immobilier résidentiel est essentiel.Les marchés ont également été encouragés par l’intervention de la banque du Japon. Après la Banque centrale européenne le 6 septembre, puis la Réserve fédérale américaine jeudi dernier, la Banque du Japon a pris les marchés par surprise en dévoilant un vaste programme de rachat d’actifs pour soutenir son économie. Pour les spécialistes de Barclays, cette abondance de liquidité sur les marchés «devrait continuer à favoriser les actifs risqués, donc les actions».
Inquiétudes sur la Grèce et l’Espagne
En Europe, l‘inquiétude sur la Grèce et l’Espagne reste toutefois toujours aussi présente. Le résultat de l’audit des créanciers de la Grèce, réunis au sein de la troïka, constituée par l’Union européenne, la BCE et le FMI, ne devrait pas être connu avant le mois d’octobre, tandis que Madrid semble toujours aussi peu encline à demander officiellement une aide financière à l’Europe.A Paris le secteur de la chimie très dépendant des prix du pétrole, profitaient du recul des cours du baril, à l’image de Solvay (+1,68 %), Arkema (+2,06 %), ou Air Liquide (+1,94 %). De son coté, le secteur automobile, fortement chahuté ces derniers jours faisait l’objet d’une intense chasse aux bonnes affaires. Renault a ainsi grimpé de 2,25 % et Peugeot de 1,25 %. Michelin a terminé en hausse de 1,50 % après avoir relevé son objectif de résultat opérationnel à l’horizon 2015 à 2,9 milliards d’euros, contre 2,5 milliards jusque-là.
En revanche bon nombre de valeurs jugées hautement cyclique pâtissaient toujours des craintes de ralentissement de la croissance mondiale. Schneider a ainsi terminé en baisse de 2,25 % et STMicroelectronics a lâché 1,86 %.
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