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Les
marchés entament le mois de septembre sur une note d’hésitation. En
baisse dans les premiers échanges, à l’image des Bourses asiatiques (le
Nikkei a perdu 0,63% à la clôture), le CAC 40 est vite repassé dans le
vert, dans le sillage des hausses enregistrées vendredi dernier sur les indices européens et
américains. À la clôture, l’indice parisien a gagné 1,19% à 3453,71
points dans un volume d’échanges faible de 1,58 milliard d’euros. À Wall
Street (fermé aujourd’hui pour le «Labor Day»), le Dow Jones avait fini en hausse de 0,69%,
porté par les propos de Ben Bernanke en fin de semaine sur un probable
soutien de l’économie de la première puissance mondiale.
En Europe, en revanche, l’heure n’est pas à l’euphorie: la crise existentielle de la zone euro refait surface en cette rentrée. Demain, mardi, François Hollande va rencontrer son homologue italien Mario Monti, tandis que l’Espagne revient au centre des préoccupations. De ce côté de l’Atlantique, aussi, un coup de pouce de la Banque centrale européenne (BCE)est très attendu. À trois jours d’une réunion cruciale jeudi, le président de l’institution, Mario Draghi, a déclaré ce lundi à une commission du Parlement européen que «le rachat de dette à moyen terme (moins de trois ans) sur le marché secondaire n’était pas de la création monétaire». Il a jugé qu’il était de la «responsabilité» de la BCE d’intervenir sur le marché de la dette. Ses propos rapportés par l’eurodéputé Jean-Paul Gauzès ont dopé le moral des investisseurs. Comme Paris, la Bourse de Francfort a terminé la séance en hausse de 0,63% à 7014,83 points.
Enfin, en Chine, l’activité manufacturière est revenue en août à son plus bas niveau depuis mars 2009, selon un indicateur publié lundi par la banque HSBC qui confirme un fort ralentissement de la croissance dans la deuxième économie mondiale.
La Bourse de Paris finit en hausse, soutenue par Draghi
L’euro se traite près de 1,26 dollar. Crédit Photo : LUCAS JACKSON/REUTERS
Le CAC 40 a gagné 1,19% ce lundi, à 3453,71 points, dans une séance peu animée en raison de la fermeture des marchés américains.
En Europe, en revanche, l’heure n’est pas à l’euphorie: la crise existentielle de la zone euro refait surface en cette rentrée. Demain, mardi, François Hollande va rencontrer son homologue italien Mario Monti, tandis que l’Espagne revient au centre des préoccupations. De ce côté de l’Atlantique, aussi, un coup de pouce de la Banque centrale européenne (BCE)est très attendu. À trois jours d’une réunion cruciale jeudi, le président de l’institution, Mario Draghi, a déclaré ce lundi à une commission du Parlement européen que «le rachat de dette à moyen terme (moins de trois ans) sur le marché secondaire n’était pas de la création monétaire». Il a jugé qu’il était de la «responsabilité» de la BCE d’intervenir sur le marché de la dette. Ses propos rapportés par l’eurodéputé Jean-Paul Gauzès ont dopé le moral des investisseurs. Comme Paris, la Bourse de Francfort a terminé la séance en hausse de 0,63% à 7014,83 points.
Enfin, en Chine, l’activité manufacturière est revenue en août à son plus bas niveau depuis mars 2009, selon un indicateur publié lundi par la banque HSBC qui confirme un fort ralentissement de la croissance dans la deuxième économie mondiale.
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