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Prudente, la Bourse de Paris fait un petit pas en avant
A l’exception des ventes de voitures, les dernières statistiques ne sont pas très bonnes aux États-Unis. Crédit Photo : © David Moir / Reuters/REUTERS
Le
CAC 40 a avancé de 0,20 % ce mercredi à 3405,79 points. Le marché a
retrouvé quelques couleurs à la veille d’une réunion très attendue de la
BCE.
La
Bourse de Paris a retrouvé quelques couleurs. Après avoir tergiversé
pendant pratiquement toute la séance, le CAC 40 a grappillé 0,20 % à 3
405,79 points, dans un volume d’échanges toujours très mince d’environ
2,35 milliards d’euros. Mardi, il avait reculé de 1,58 % tombant ainsi sous les 3400 points.
L’ambiance était tout aussi fébrile sur les autres grandes places européennes, qui ont terminé en ordre dispersé. Londres a ainsi reculé de 0,25 % tandis que Francfort a avancé de 0,46 %. La tendance était toute aussi incertaine à New York. En séance, le Dow Jones grignotait 0,15 % mais le Nasdaq glissait de 0,07 %.
A la veille d’une réunion très attendue du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), la pression a encore grimpé d’un cran. Cet été, les marchés ont fortement grimpé, portés par l’espoir d’une action des grandes banques centrales. Mais, en dépit des nombreuses assurances apportées par les responsables politiques ces derniers jours, au fur et à mesure que les échéances approchent, le doute s’installe.
Les investisseurs espèrent l’annonce jeudi, par la BCE, de rachats d’obligations de pays en difficulté de la zone euro. Mais face aux réticences des dirigeants allemands le doute persiste. Hormis un rachat d’obligations publiques, la BCE peut aussi procéder à une baisse de son principal taux directeur, aujourd’hui de 0,5 %. Mario Draghi, qui avait déjà déclaré lundi devant une commission du Parlement européen que la banque centrale pourrait acheter des titres d‘États à court terme, a assuré que ces opérations «s’intègrent parfaitement dans le mandat de la BCE».
Visiblement en panne d’inspiration, les investisseurs portaient une attention toute particulière aux recommandations des analystes. Legrand (+3,03 %) a ainsi terminé en tête du CAC 40 après une note favorable des analystes Barclays. La banque est passée à l’achat sur la valeur, estimant que le marché exagère le risque lié aux activité du groupe en France et en Italie. A l’inverse, STMicro a plongé de 4,89 % après avoir été dégradé par UBS.
Les traditionnelles valeurs défensives comme Essilor (+2,15 %) et Sanofi (+0,88 %) parvenaient en revanche à tirer leur épingle du jeu.
En revanche, bon nombre de valeurs cycliques pâtissaient encore des inquiétudes de plus en plus vives sur la solidité de la croissance mondiale. Vinci a ainsi abandonné 1,24 %, Renault 0,78 % et Michelin 0,72 %.
Alcatel et Peugeot, deux valeurs menacées de sortir du CAC 40 d’ici la fin de la semaine ont cédé respectivement de 4,31 % et 2,28 %.
L’ambiance était tout aussi fébrile sur les autres grandes places européennes, qui ont terminé en ordre dispersé. Londres a ainsi reculé de 0,25 % tandis que Francfort a avancé de 0,46 %. La tendance était toute aussi incertaine à New York. En séance, le Dow Jones grignotait 0,15 % mais le Nasdaq glissait de 0,07 %.
A la veille d’une réunion très attendue du conseil des gouverneurs de la Banque centrale européenne (BCE), la pression a encore grimpé d’un cran. Cet été, les marchés ont fortement grimpé, portés par l’espoir d’une action des grandes banques centrales. Mais, en dépit des nombreuses assurances apportées par les responsables politiques ces derniers jours, au fur et à mesure que les échéances approchent, le doute s’installe.
Les investisseurs espèrent l’annonce jeudi, par la BCE, de rachats d’obligations de pays en difficulté de la zone euro. Mais face aux réticences des dirigeants allemands le doute persiste. Hormis un rachat d’obligations publiques, la BCE peut aussi procéder à une baisse de son principal taux directeur, aujourd’hui de 0,5 %. Mario Draghi, qui avait déjà déclaré lundi devant une commission du Parlement européen que la banque centrale pourrait acheter des titres d‘États à court terme, a assuré que ces opérations «s’intègrent parfaitement dans le mandat de la BCE».
Les financières en hausse
Les valeurs financières, fortement chahutées ces derniers jours, ont ainsi terminé en hausse, permettant au CAC 40 de surnager. Société Générale a ainsi grimpé de 2,48 %, BNP Paribas a avancé de 2,06 % et Crédit agricole de 0,92 %.Visiblement en panne d’inspiration, les investisseurs portaient une attention toute particulière aux recommandations des analystes. Legrand (+3,03 %) a ainsi terminé en tête du CAC 40 après une note favorable des analystes Barclays. La banque est passée à l’achat sur la valeur, estimant que le marché exagère le risque lié aux activité du groupe en France et en Italie. A l’inverse, STMicro a plongé de 4,89 % après avoir été dégradé par UBS.
Les traditionnelles valeurs défensives comme Essilor (+2,15 %) et Sanofi (+0,88 %) parvenaient en revanche à tirer leur épingle du jeu.
En revanche, bon nombre de valeurs cycliques pâtissaient encore des inquiétudes de plus en plus vives sur la solidité de la croissance mondiale. Vinci a ainsi abandonné 1,24 %, Renault 0,78 % et Michelin 0,72 %.
Alcatel et Peugeot, deux valeurs menacées de sortir du CAC 40 d’ici la fin de la semaine ont cédé respectivement de 4,31 % et 2,28 %.
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